SURNOM le frenchie ORIENTATION SEXUELLE hétérosexuel malgré ces dérapages d'ivrognes avec quelques amis qui n'ont jamais dépassé le french kiss CLASSE SOCIALE moyenne SITUATION FAMILIALE gamin unique, gamin né avec une cuillère en argent dans la bouche, gamin d'avocat, gamin de parents divorcés, gamin d'un père aux mœurs légères, gamin d'une belle mère de quatre an son aîné, gamin d'une mère alcoolique et dépressive, gamin d'une mère alzheimer placée dans un centre spécialisé pour maladies neurodégénératives CROYANCES aucune, athée mais pratique certains cultes païen tel que noël LOISIRS la fumette, la défonce tranquille, les grasses mat', emmerder l'autorité, les lucky stricke, les sorties, les soirée de beuverie, les amis, appliquer l'adage 'la vengeance est un plat qui se mange froid', l'amour physique, glander, faire chier son monde, les fous rires débiles, faire le con, dormir, se tourner les pouces, faire chier domino, courir après domino, repousser domino, aimer domino, détester domino, se paumer dans son illogique, bouffer fast-food, faire la tournée des bars, se foutre de la gueule des cons, râler, jouer à la console UNE JOURNÉE ORDINAIRE métro, boulot, téquila, gin, vodka, la baise facile, domino, lucky stricke, dodo AMBITION POUR L'AVENIR reprendre ces études, voir de temps en temps sa mère, dire merde à son père, avoir un boulot stable, une belle baraque, se taper la femme du voisin DÉCEPTION/ÉCHECS ces études, son paternel, sa vie, sa famille PEURS la solitude, finir vieux et con, l'enfermement, l'exclusion sociale SEX/DRUG/FUCK fume un peu trop, boit un peu trop, couche un peu trop, veut tout voir, tout essayer, à déjà touché à tout et continue de toucher à n'importe quoi CASIER JUDICIAIRE vierge FILMS FAVORIS les tontons flingueurs, le parrain, le silence des agneaux, bébel LIVRES FAVORIS what ? STYLE DE MUSIQUE/ARTISTES PRÉFÉRÉS pop-rock, nirvana, coldplay, queen, telephone, simple plan, ben harper, various artists PAYS VISITÉS suisse, canada, usa, londres

d'une nature sans concession •• impitoyable •• personnalité construite sur la notion d’absolu, d’extrême •• anticonformisme •• la facilité n’est pas pour lui •• insoumis •• il excelle dans les situations difficiles •• hautain •• les défis le stimulent •• sadique •• ses constantes recherches et réflexions le poussent à de nombreuses remises en questions sur lui-même, son existence, sur celles des autres •• capricieux •• considère la vie comme une évolution perpétuelle, craignant l’immobilisme et l’inactivité •• intellectuel •• a besoin de transformation, cette volonté pouvant se traduire différemment d’un individu à l’autre •• cultivé •• rétif à toute forme de conditionnement, d’oppression et de cristallisation •• passionné •• souvent ironique ou cynique •• individualiste •• met de la distance entre lui et le monde •• dangereux •• est un être méfiant •• violent •• un suspicieux qui voit le mauvais côté des choses avant le bon •• enculé de service •• d’extérieur calme •• enfoiré •• cache en lui un bouillonnement intense •• médisant •• est à la fois un rebelle, un passionné •• versatile •• personnalité entièrement construite sur la dualité : détruire pour reconstruire, souffrir ou faire souffrir, être le maître ou être l’esclave, évoluer ou mourir •• fiable •• ces choix sont toujours extrêmes •• ambitieux •• n’est pas un être de modération ni de tempérance •• instinctif •• est un exclusif, un possessif, un jaloux qui vit dans l’intensité •• dévoué •• sans mesure, il est rancunier et susceptible •• passif •• est un adversaire loyal •• taciturne •• mieux vaut le prendre de front que d’essayer de l’avoir par la trahison ou le mensonge •• têtu •• a une conception assez spéciale de la possession •• susceptible •• fera tout pour obtenir ce qu’il désire mais une fois qu’il l’aura, il ne s’y intéressera plus vraiment et pourra même s’en débarrasser négligemment •• dynamique •• fait penser à un félin repu qui, chassant pour le plaisir et l’excitation, peut laisser sa proie à moitié morte à l’abandon •• téméraire •• en amour il faut s’arranger pour le stimuler constamment afin qu’il garde intact son intérêt et son désir •• cynique

I wanna love you

BUT SOMETHING’S PULLING ME AWAY FROM YOU

TES BAISERS ONT L'AMER GOÛT DE LA TRAÎTRISE, TES CARESSES L'HORRIBLE CHALEUR DE LA TRAHISON, TON ÊTRE ENTIER EST UNE INFERNALE PRISON HISSANT FIÈREMENT LE FLAMBEAU DE LA HANTISE... et tu me tiens, soumis à tes caprices, à tes envies. Ivrogne que je suis, toi mon absinthe mais autant te le dire tout de suite, tu m'emmerdes au delà de toute chose. Te le dire me brûle, te le hurler me déchire mais silencieux je reste, immobile et impassible, loin de toi et de nos jeux enfantins. Et je te vois sourire, lisse et intouchable comme sur du papier glacer, ton indifférence venant ébranler ma flegme. Tu t’ennuies, l'ennuie te poussant à consommer outre mesure l'alcool qui finalement te délit la langue, cette garce si fourchue et mordante. Vipère. Mais je t'accompagne, loin de toi, m'enfilant un énième verre. Je pensais pouvoir passer une soirée tranquille, loin de toi et de tes non-dits, de tes interdits. Echec. Alors j'essaie, vainement, de t'oublier, m'oublier dans l'alcool et plonger dans la dépression de part ton indifférence. Mais tu me brûles et ta présence si proche de la mienne me consume alors que tu te tiens à l'autre bout du pub aux mœurs légères, là ou l'ivresse est possible, la baise, intense mais dégueulasse, dans les chiottes miteux du bar. J'en ai envie. De toi. Tout de suite. Garce. Mais incapable de perdre la face, d'avouer mon impuissance, je reste immobile dans le bordel ambiant, silencieux au possible, regard sombre braqué sur ta personne. Et alors que je me traîne un boulet, tu restes plutôt bien entourée, délicieuses présences t’entraînant et t'accompagnant dans les heures sombres de la nuit.
Malgré l'obscurité qui règne à l'extérieur, cette même noirceur qui m'habite en ce moment même, tu regardes ta montre, ton impatience montant en flèche. Tu attends quelqu'un, quelqu'un susceptible de te faire passer une bonne fin de soirée... je serre les dents, mon regard se braquant instinctivement sur la porte. J'ai des envie de meurtres, des envie sombres, lubriques, incandescentes. J'ai envie d'aller vers toi, réclamer ce qui est à moi mais je bois, encore. Je suis lâche ce soir, lâche, puant de rancœur envers toi, toi qui me blesse si facilement. Je ne veux pas m'attacher et me détacher de toi serait la meilleur solution, me perdre ailleurs, mais non. Con. Ouais, je le suis et le resterais certainement jusqu'au bout. Mais tu m'aimes n'est ce pas ? Moi non plus babe. Et alors que je me retourne pour mon prochain shooter, on me bouscule. Ca a le mérite de me détacher de toi, de porter mon attention ailleurs et je regarde ce boulet qui me sourit connement. Lui aussi je l'aime bien, un peu, quand il me fait pas trop chier. Ce trou du cul qui comprend tout. Moi je suis né le nez dans la merde, lui, le cul bordé de nouille. « Arrête de la bouffer des yeux, j’ai chaud rien qu’en vous regardant. » Blasé, j'hausse un sourcil et l’envoie joyeusement chier. Qu'il aille chier dans sa caisse. Je m’envoie mon verre cul sec et me lèche les lèvres lorsque l'air frais du soir s'engouffre dans le pub. Je jette un regard par dessus mon épaule, hostile, et regarde le nouveau venu. Un goût amer m'emplit la bouche alors que je porte mon attention sur celle qui me fait passer pour le con de service. Domino. Et tu me regardes. Regard céladon. Lèvres carminées. Sourire léger mais ô combien horripilant. Le jeu s'installe. Enfin. Je le vois et je me pose sur l'une des chaises hautes du bar tandis que tu te décales pour laisser la place au nouveau venu. Salope.
Œillades charmeuses, sourires béats, conneries et débilités déballées et je m'avachis légèrement dans le siège. La soirée vient de prendre une autre tournure, l'envie de dépression est passée laissant place au défit et à l'envie de faire mal. Oh oui putain ! Tu vas souffrir si tu veux jouer à ce petit jeu. Et je te laisse faire, charmer ton monde, vos rires m'atteignant à peine alors que je capte l'intention d'une de mes futures victimes. Plantureuse, sombre comme l'obsidienne aussi bien sa chevelure que son regard de biche et je jubile. Elle te ressemble si peu babe, que je pourrais me la faire dans les vestiaires à quelques mètres de toi sans en éprouver le moindre remord... jouissif. Elle vient. Lancinante avancée, aguichante. Callie. Ouais. Joli prénom. Mais rien à foutre. Je ne suis pas là pour ça, m'occuper de son prénom, de toute façon je ne compte pas la rappeler. Je veux juste prendre ce qu'il y a prendre ce soir et l'oublier par la suite. Je pense qu'elle a compris le cheminement de mes réflexions. Brave petite. Son sourire rejoint le mien, frais et entêtant. Une bouche purpurine que j'embrasse, m'attaquant d'abord à ces lèvres. Mordre, lécher, sucer, apprendre à les connaître avant d'aller plus loin, glisser dans cette cavité humide pour un baiser humide et j'ai chaud. Tellement chaud alors qu'elle se glisse entre mes cuisses, son ventre venant se coller contre mon bassin en une caresse suggestive. Vagina girl. Putain, je me fais l'effet d'un enfoiré de première mais je ne peux m'en empêcher malgré ton départ, et ce malgré ton absence qui signe l'arrêt du jeu. Je ne peux pas arrêter. Aller jusqu'au bout, il en est et en sera toujours ainsi [...]

ACCIDENTEL INSTRUMENT DE MA CHUTE, VENIMEUSE CHAÎNE ENTRAVANT MA NOBLE LUTTE... QUAND DAIGNERAS-TU DE MON CŒUR RETIRER CES IMMONDES CROCS NE FAISANT QUE EMPIRER MON CALVAIRE ? Question à la con. N'est ce pas ? Immobile, je fais le pied de grue. Pitoyable. Arpenter le trottoir juste en face de chez toi, me fait passer le temps, décuver, tout en surveillant la lueur tremblotante de ta fenêtre. Hésiter n'a jamais fais partie de moi, de mon caractère, de ma personne qui déconne autant en ce moment. Mais voilà, nouveau pays, nouvelles règles, nouveaux jeux... et je me perds un peu plus dans ce jeu du chat et de la souris. Soupirs, mains profondément enfouies dans le veston, je m'arrête devant l'entrée de ton chez toi. Indécis. L'envie de te faire chier jusqu'au petit matin me titille, me vrille les tripes. J'ai envie de te filer l'insomnie en t'emmerdant, n'être pas le seul à me geler le cul dehors à penser à toi et à tes agissement. Pourtant j'aurais pu finir ma soirée ailleurs, dans une chaleur toute relative mais ô combien entêtante. Seulement voilà. Tirer mon coup une fois m'a suffit, mon corps souhaitant obtenir autre chose que tu m'as interdit depuis le début de la soirée. Conneries. Mon paternel me dit que je suis un gamin, ma mère... un souvenir balayé par sa maladie. Toujours est-il que gamin je le suis et que j'ai horreur que d'autres puissent jouer avec l'un de mes jouets. A moi. Soupire. Énième.
Je tire une clope du paquet écrasée, l'allumant tout en sortant mon téléphone. Allez, il n'est pas encore trop tard pour te faire harceler babe. Mais plutôt que de t'appeler, je préfère t'envoyer un message, mes pieds prenant la direction de l'immeuble. Marre d'attendre. Je n'aime pas attendre. T'ES CHEZ TOI ? JE VIENS. Si je m'invite ? Ouais, et autant dire que je m'en balance. J'aimerais pouvoir t'y ennuyer, t'y faire chier et alors que je gravis les marches, clope au bec, je n'attends pas de réponse, mon téléphone réintégrant ma poche. Fuck. Pas besoin de réponse de ta part, je sais que tu as reçu le message et de toute façon, je n'en attends pas. Sombre, débraillé, j'atteins à peine ton pailler que tu m'ouvres, aussi sombre que mon humeur. Domino. Immobile, tu te tiens légèrement appuyée contre le chambranle, la porte entrouverte sur ton corps. Mince rempart entre moi et ton lit. Et je te regarde, encore, laissant le silence s'installer, s'étendre entre nous, laissant place aux non-dits et aux mensonges qui pavent notre vie. Tu sors de ton lit ? Ton ami est toujours là ? J'ai envie de te bousculer, de te dires des insanités, ravager cette embouchure qui ne semble pas vouloir parler. Mais mea-culpa car j'ai aussi pêché avant de te retrouver. J'ai eu droit à mon ivresse d'un soir, ma baise dégueulasse dans les chiottes sans pour autant en tirer la moindre satisfaction. J'aimerais pouvoir te dire que je me sens sale, que son parfum me rend malade, qu'une douche s'impose avant de pouvoir m'attaquer à toi, aussi bien physiquement que psychologiquement. Impossible. Ca te ferait trop plaisir, je le vois, je le sens. Alors je vais faire mon salopard de service, fumer tranquillement et attendre le bon moment. Comme celui-ci, celui ou j'abandonne cancer et idées fixes pour aller vers toi, ravager cette bouche close sur un profond mutisme tout en te poussant à l'intérieur.
Dévorante. Enfin. Mais je me heurte à une froide détermination, une claque cinglant le silence de l'endroit tout en m'arrachant un sourire narquois, une douleur lancinante s'installant sur mon visage. De la violence pour ce soir babe ? Why not... mes doigts se nouent autour de tes mèches auburn, douces et ondulées, tirant brutalement sur ta chevelure histoire d'y dégager ta gorge. Aucune douceur. Coups pour coups. Et tu me le rends bien. Violente à souhait, déterminée, ton corps contre le mien, pressée, attisant un désir dès plus ardent. J'ai des envies de violences, des envies de te faire mal, de te voir gémir, déposer un chapelet de baiser sur ce corps impliable et pourtant si malléable. Mais vipère que tu es, tu as du répondant, mordant, blessant ce qui est à ta porter. Gémissements. Ne m'encombrant alors pas de délicatesse, ton dos rejoint durement le mur, mon poids écrasant tes formes avant de glisser des mains sous tes cuisses. Je te veux à ma hauteur, mes doigts pétrissant tes chairs, ta langue cajolant mes lèvres meurtries par tes dents, par cette bouche délicieuse mais ô combien dangereuse. Et maso je lui suis car je te cherche, tout le temps, inlassablement, recherchant sans cesse ce genre de situation. Mais je t'adore, te chéris te désire, t'idolâtre... peut-être un peu plus, peut-être un peu moins. Et je crois que j'ai un problème car je t'a(b)îme et j'aime ça. Et de ta vie, je veux en être le seul roi et de mes doigts crochus, tel un odieux rapace, dévorer toute manifestation d'hérésie et juché tel un seigneur sur un blanc parvis, j'aspirerais le moindre souffle de vie si je ne peux satisfaire cet appétit vorace de te posséder...

Ann 'Dustman' Löwe a écrit:

Merchiii :)
(je te renvoie le compliment, Tristan est un prénom sublime <3)

October Rosenbach a écrit:

Excellent choix d'avatar!

Bienvenue, je file te réserver Luke!

luke.
tu prêtes, domino ?

Louis-Marie De Madaure a écrit:

je suis officiellement jalouse de cette fiche (t'écris vraiment trop bien ).
bienvenue (même si j'arrive tard ).

October Rosenbach a écrit:

Oh, quelqu'un qui a 23 ans comme moi! Héhé, je ne suis pas la seule vieux débris! Bref, après lecture de ta fiche, je te valide avec plaisir!