Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins.
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Anouk C. McLoyd
nombre de messages : 7 crédits : mischievious wink mood : losing control boîte à musique : Flii Stylz & Tenashus - Break It On Down # Broken records - A promise # Adele - I found a boy # Marianne Faithfull - As tears go by # Janis Joplin - One night stand # Jefferson Airplane - Pretty as you feel # PJ Harvey - The last living rose # Bob Marley - Chant down Babylon # Marvin Gaye - Trouble man # Beastie Boys - Sure Shot # The Beatles - Happiness is a warm gun # Bob Dylan - Stuck inside of mobile # Peggy Lee - He's a tramp # Chemical Brothers - Under the influence # David Bowie - I'm disturbed stabilité mentale : 0
Sujet: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 10:45
MAGDALENA FRACKOWIAK PAR CRÉATEUR.
DEVIL IN THE DETAILS
Capharnaüm des idées et cadavres pas si exquis.
Des miscellanées de tartes, un spicilège impressionnant de pensées. Pas les fleurs. Mange une tarte et tu auras droit à une vérité (sur toi-même). Disait ma grand-mère. Tes goûts culinaires reflètent ta personnalité et divulguent ton vécu. Prenons un exemple : moi. Je n’aime pas le chocolat. Point trop n’en faut certes mais tout le monde raffole du cacao et de ses multiples déclinaisons sucrées, salées, épicées…Alors exception à la règle ou séquelle post traumatique ? C’est libre d’interprétation. Par contre, j’aime tout ce qui n’est pas bon. Les épinards, les sardines à l’huile, les anchois…Que de mets délicats, assurément dépréciés car victimes de leur réputation. Tout n’est qu’affaire d’image, c’est un fait. Tarte à la citrouille et au fenouil, tarte au citron meringuée : le choix est vite fait. C’est le goût de l’habitude ou de l’insolite, la bouchée familière ou déconcertante. Chacun ses goûts, chacun son caractère, chacun son ambition. Moi je mange de la citrouille et du fenouil avec un jus d’herbe aussi. J’aime pas le citron. Je m’accommode mieux de l’extravagant, c’est mon habitude à moi. Antithèse paradoxale. C’est dégueulasse l’ordinaire, voilà pourquoi je me lasse rapidement de tout. J’arrive plus à me contenter du plus simple. Je suis de la pire espèce, du terreau le plus infertile. De ces gens qui en simplifiant, complexifient, de ceux qui prétendent chercher un idéal. Insatisfaction viscérale. Prisonniers d’un cercle vicieux. Lequel ? Celui du bonheur mensonger. Où le vice adjure la vertu. Mes propres vices, ceux vainement dissimulés derrière la forme sibylline de la fuite. Courir pour ne pas voir. Courir pour oublier. Courir pour ne pas affronter. S’arrêter de temps à autre pour savourer un moment éphémère. Sans finalité, sans projet, se laisser porter au gré des aléas de la vie. Quitte à la gâcher, cette précieuse existence. Perdue entre des mains tremblantes de peur, tantôt trépidante, tantôt monotone, elle se déverse inlassablement. Elle se mue en souvenirs lointains, en regrets. En somme, elle se gaspille la vie. Comme les tartes impropres à la consommation qu’on jette sans vergogne souvent parce que personne n’en a voulu. J’aimerai vous dire que je suis différente, seulement ce serait vous mentir. Je n’en ai que l’apparence, je me donne l’apparence de la différence. Je suis partie pour trouver autre chose, dans l’espérance vaine de donner un sens à mes actes. Etudes, sports, repas, fêtes…De la mécanique, accomplir une tâche sans sentiment –ou factice- ou quelconque envie, juste parce qu’il faut et que ça fait bien. Parce que ça fera plaisir à mes parents et que ça me donnera l’impression d’être intégrée dans un mouvement, une génération. Parce que j’ai rien d’autre à faire de ma vie. Parce que j’ai peur. Précarité de l’existence. Tout est si fragile. L’erreur n’est pas permise. Ce poids est trop pénible à porter, j’ai choisi de mettre tout entre parenthèses. Ma vie en somme. J’ai tout quitté. A quoi bon vivre dans l’illusion et le superficiel. Lâche : ouais. Je peux pas assumer, je peux pas prendre de décisions. Ni pour moi ni pour les autres. Je suis pire qu’un automate, je navigue dans la brume. J’ai choisi de tout laisser m’échapper plutôt que de réagir. Suis-je à blâmer ? Il en fallait des couilles pour prendre ses clics et ses clacs et se barrer de chez soi, loin du confort rassurant d’une vie préfabriquée, libérée de l’attente inconsciente d’une crise prochaine qui bouleverserait suffisamment mon esprit pour que je réalise que je n’ai pas su saisir mes véritables désirs au moment opportun. Un jour, tu deviens vieux et acariâtre. Je préfère attendre et en être consciente plutôt que de vivre grâce et à travers un leurre. De toute façon j’en ai plus rien à foutre puisque je n’ai rien à perdre, rien à gagner. Dans un sens, je suis plus libre que vous. Je peux faire ce que je veux comme ne rien faire du tout. Est-ce à dire que j’ai définitivement sombré ? Peut-être. J’erre, l’âme en peine, le cœur en berne. Je suis une épave, ouais et un cliché aussi. Je mange de la tarte pour m’occuper et je taille la route quand j’en peux plus. J’attends que ça se passe. Inexorablement.
Dernière édition par Anouk C. McLoyd le Ven 29 Juil - 11:53, édité 9 fois
Anouk C. McLoyd
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 10:46
Bordel des souvenirs fantasmés
Paris, 18e arrondissement, 2:00 AM, date inconnue.
Elle est brouillon et elle ne sait pas ce qu’elle dit ou ce qu’elle fait. Mais elle s’applique à accomplir chaque tâche qu’on lui confère comme si sa propre vie en dépendait. Elle est dévouée, elle respecte la moindre norme et révère l’ordre. Et il lui faut bien ça dans son existence pavée d’incertitudes et de crainte. Regardez-la polir le comptoir, regardez ses doigts rougis par ce labeur, regardez son front inondé de sueur. Elle est grisée par cette sensation. Celle d’être utile. Au moins, elle ne pense pas pendant qu’elle se perd dans le travail. C’est une sacré bonne combine pour s’évider la tête et s’assécher l’esprit. Nettoie, range, ferme les stores, éteins les lumières de la cuisine, mets les chaises sur les tables, balaie. L’autre serveuse part. Salut amical. T’as un regard diablement sépulcral. A travailler comme un forcené, on finit par devenir profondément sinistre. Idée fugace, idée sagace. L’envie menaçante de manger une tarte la saisit à la gorge, déchirante. Un long râle émane du plus profond de ses entrailles. Elle a faim. Pause. Sa tête se meuble progressivement de pensées à mesure qu’elle s’approche du comptoir. Sans vergogne aucune, elle soulève la cloche abritant les mets interdits et se délecte d’une tartelette à la myrtille. Elle sème quelques miettes par terre et se colore les lèvres de nuances violettes. On dirait une enfant. Elle est mignonne, voilà tout. Paisible en façade, maladroite et craintive en profondeur. Affaire d’apparences. Encore. On frappe à la porte. Fin de la rêverie, elle se redresse, finit hâtivement sa pâtisserie, lisse les plis inexistants de son jean dépareillé et se rend finalement près de la dite porte. Elle voit une silhouette se détacher lentement de la noirceur lugubre de la nuit. Elle se plante devant l’entrée et tapote faiblement l’affichette « Fermé ». Le mec a un flingue. Elle ne réagit pas malgré la menace latente que représente le revolver. Il colle le canon du pistolet contre la vitre et désigne la poignée de la porte d’un bref mouvement de tête. Dans un soupçon évident de clairvoyance, elle tire le store. Elle tourne le dos. Il tire. La vitre explose, se morcelle. Douleur fulgurante dans l’épaule. Elle s’écroule sur le sol irrévocablement rigide. Le mal se décuple, l’étreint, l’étouffe. Elle a le souffle coupé, suffoque. Elle souffre. Etrangement, elle tire plaisir de cette souffrance . Elle se vide lentement de vie. Enfin elle en a l’impression. Il la relève brusquement, l’adosse au meuble du comptoir, elle voit son visage auréolé de traînées nébuleuses. Sa tête s’appesantit. Hé, t’endors pas. Il la gifle, la secoue violemment, comme pour effacer la faiblesse de son corps. Merde. Il la lâche, elle glisse. Il fouille la pièce, attrape une bouteille, un torchon. Ses mains tremblent, un sentiment de culpabilité paralyse ses gestes. Pourtant rien dans son visage ne montrait une quelconque empathie Il s’agenouille, se relève, saisit son flingue -ça le rassure-, s’accroupit cette fois, le pose délicatement par terre, la regarde. Elle le dévisage comme s’il n’était qu’une impertinente bête de foire. Ils se figent. Qui sont-ils ? Ils le savent. Je sais que des mots ne calmeront pas la douleur mais je suis désolé, ce n’était pas mon intention de te blesser. Je voulais juste entrer. Il détaille chaque trait imparfait de son visage mutin. En dépit de la douleur, aucune expression ne s’empare de son faciès. Pas un sourire, pas une lèvre qui tressaille, pas une paupière qui vacille. Trouble inquiétant qui perturbe ses propres convictions. Elle est faible. Elle doit pâtir d’une sensibilité exiguë puisque c’est une femme. Et pourtant. Il la touche, elle se raidit de manière farouche, elle est méfiante mais elle ne le craint pas. Je te connais. Il inonde sa plaie avec un produit au nom imprononçable, espérant vraisemblablement que cela l’interromprait. Il n’en fut rien. Je t’ai déjà vu. Elle jugule son orgueil. Il sent un ressac d’émotions le saisir aux tripes. T’as un nom carrément étrange. Il nettoie sa blessure de manière peu délicate, insistant particulièrement sur les bords du sillon creusé par la balle. Sa bouche se contorsionne promptement. Elle continue. Xi…Xouh…Xihuaru. Immanquablement, sa langue éborgne son prénom. Anouk. Il sonde son regard, s’accroche à la faible escarbille de doute qui grésille dans ses yeux. T’es de L.A. Il déchire le torchon. Et tu étais au lycée avec moi, tu parles d'une coïncidence... Il ne dit mot. Mémoire photographique. Froncement bref de sourcils, frémissement de la lèvre supérieure. J’ai une mémoire photographique. Il lui répond. Une chance. Elle ricoche sur ses mots, placide. Un mal. Il hausse les épaules et finit de confectionner ce qui ressemblait à un bandage -de fortune-. Tu m’as tirée dessus, pourquoi tu fais ça ? C’est complètement absurde. Il s’engonce dans un silence énigmatique, le corps presque atone. Une faible salve d’adrénaline se diffuse dans chacun de ses membres engendrant avec elle un mouvement de tête frêle, maladroit et surtout peu explicatif. Avec une hardiesse soudaine, il se risque à étendre et attacher le bandage autour de son épaule. Il ne se heurte à aucune sorte de résistance. Flegme à toute épreuve, peur contenue ou insolente désinvolture ? Peut-être qu’elle s’en fout tout simplement. Y a rien de choquant dans le fait de se faire tirer dessus, c’est l’un des plus vieux fléaux que connaît l’humanité, pourquoi donc s’en étonner ? Qui s’en étonne encore d’ailleurs ? Y avait quelque chose de profondément pathétique dans cette pensée. Normalisation de la violence. Ce qui est absurde, c’est que tu ne réagis même pas. N’importe quel être humain sensé aurait eu la présence d’esprit de se défendre…ou de fuir. Ses yeux se voilent et sa respiration pantelle. La lassitude corrompt subrepticement son esprit : elle n’objecte pas, elle détourne la conversation. Je ne sais pas quelle est ta définition du mot « sensé » mais moi un mec avec un flingue et qui de surcroît s’en est déjà servi contre ma personne, je ne l’énerve pas. Et puis je te connais, je vais pas agir comme si tu n'existais pas dans mon esprit. Honnêtement, j'y arriverais pas. Il ôte ses mains du bandage, reprend son flingue, s’assoit lourdement sur le sol. Mais tu n’as pas une attitude normale. Elle sent l’adrénaline déversée par sa cervelle perdre en efficacité au profit de la douleur, lente et âpre. Et la tienne. Elle presse son épaule comme pour écraser le mal qui envahit progressivement sa blessure. On est tous les deux à blâmer. Il pose son arme à terre mais ses doigts rôdent toujours autour de la gâchette. La logique aurait voulu que tu te tires avec le fric de la caisse et que j’appelle les flics pour les alerter. Le truc c’est que t’as pas agi comme un voleur et moi comme une volée parce qu’il y a pas eu de vol. C’est cette situation qui est anormale. Mais je dirai quand même que c’est de ta faute. Il hausse un sourcil. Enfin le plus ironique dans tout ça, c’est qu’on a beau s’être connus dans le passé dans des circonstances moins incongrues et bien plus propices à la discussion, c’est la première fois qu’on se parle. Enfin, je comprends pourquoi maintenant. Il lui dérobe la parole. Le fait même qu’on se connaisse est ironique. Après la façon dont nos chemins se sont croisés est plutôt burlesque. Il lâche son arme, se lève, choisit une part de tarte, se rassoit. Elle, s'affaisse. Personne ne choisit jamais la prune. Elle grimace, la douleur se répand telle une pieuvre. C’est drôle. Elle sourit. Quoi ? Des rides plissent son front. J’ai pas envie de te poser de questions du genre qu’est-ce que tu fais ici, pourquoi tu es ici, qu’est-ce que tu deviens…Il mord dans la tarte. Moi non plus, je m’en fous. Elle a un rire bête. Par contre je comprends pas la signification ni la motivation de ton geste, pourquoi…Il la coupe brusquement. Oublis pas que j’ai un flingue. Elle glisse ses mots dans un murmure. Ca te rend pas omnipotent pour autant…Il maugrée l’air mauvais. Tu restes mon otage. Ses propos empreints d’une emphase non dissimulée lui arrachèrent une moue boudeuse. J’arrive pas à avoir peur de toi. Ses paupières ploient sous la fatigue. Il la regarde. De toute façon les flics seront bientôt là. Il la dévisage. Le voisinage, t’y as pas pensé ? Il noie sa frustration dans un soupir, courbe lentement la tête et la scrute lascivement. Elle méprise son regard. J’ai entendu parler de cette affaire avec tes parents. Son expression se durcit. N’importe qui possède une télé ou lit la presse à scandales est au courant, change pas de sujet. Une décharge de douleur mutile son épaule, elle a un soubresaut. Il mange sa tarte. Elle délire. J’ai l’impression d’être dans un rêve, c’est tellement…bizarre. Il marmonne. Bon ou mauvais ? Elle baille. Je ne sais pas, ça ne peut pas se définir ainsi. C’est le genre de rêve énigmatique, sans queue ni tête, où tout te paraît réel, palpable mais qui se révèle complètement surréaliste dans son contenu. Il sourit. J’aime ça. Elle fait claquer sa langue. Quoi ? Il se relève. Ta façon de te comporter, c’est…étonnant. Pistolet dans le jean, regards inexpliqués et inexplicables. Qu’est-ce que tu fais ? Maigre reproche dans la voix. Il rit, amusé du retournement de situation. Peut-être…. Il part. Elle sombre dans un sommeil paradoxal. Réponse. Il en avait envie. Vivre.
Pensée égarée n°1 U.C Pensée égarée n°2 Xihuaru n’était pas un homme bien. Son existence était ourlée de crimes et d’atrocités en pagaille. Il ne le disait pas mais je le savais. Son attitude et son éloquence trahissaient ses pensées. Il y avait cette émotion irrévérencieuse qui poignait chacune de ses paroles et chacun de ses gestes. Elle s’épanchait dans ses veines comme un poison, tarissant chaque pan de chair et altérant chaque pensée. La culpabilité. Il suintait la culpabilité. Son imagination était juchée des réminiscences douloureuses et impénétrables de son passé. Il portait sa mémoire comme un fardeau. Châtiment infernal qui l’enchaînait à sa vie d’antan. On se ressemblait et on divergeait. Lui, récusait l’oubli tandis que je l’accueillais comme un sauveur. Il voulait se faire martyr et moi renégat. Ni lui ni moi avions raison ou tort. C’était juste une question de choix et de conséquences. Moi, je ne pensais qu'à apaiser mes maux. Lui, espérait probablement obtenir rédemption. Même s’il ne croyait en rien. Il voulait se racheter une conscience. Y avait rien de plus humain. Non, rien n’était plus humain que ce type. Il vivait selon sa propre morale et élevait ses idéaux au rang de principes. Il ne se vautrait pas dans la matière illusoire dont sont faits les rêves. Il se créait sa propre philosophie de vie. Et elle était remarquable. Bâtie sur des valeurs élémentaires et indissociables de l’Homme. Car même si Xihuaru n’était pas un homme bien, c’était un homme bon.
Dernière édition par Anouk C. McLoyd le Lun 1 Aoû - 13:02, édité 4 fois
Anouk C. McLoyd
nombre de messages : 7 crédits : mischievious wink mood : losing control boîte à musique : Flii Stylz & Tenashus - Break It On Down # Broken records - A promise # Adele - I found a boy # Marianne Faithfull - As tears go by # Janis Joplin - One night stand # Jefferson Airplane - Pretty as you feel # PJ Harvey - The last living rose # Bob Marley - Chant down Babylon # Marvin Gaye - Trouble man # Beastie Boys - Sure Shot # The Beatles - Happiness is a warm gun # Bob Dylan - Stuck inside of mobile # Peggy Lee - He's a tramp # Chemical Brothers - Under the influence # David Bowie - I'm disturbed stabilité mentale : 0
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 10:46
BASIC ELEMENTS ARE
MCLOYD Anouk Cassandre
❖ AGE: 24 yo ❖ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 6th of May 1987 in L.A. ❖ NATIONALITÉ: French american ❖ PROFESSION: Photographer ❖ ÉTAT CIVIL: Single ❖ QUARTIER: Kensington & Chelsea, Notting Hill.
Spoiler:
REAL ELEMENTS ARE
❖ AVATAR: Magdalena Frackowiak mais j'hésite encore avec Gemma Ward. ❖ PSEUDONYME: Pouah, trop changeant. ❖ PRÉNOM: Camille ❖ AGE: 18 yo ❖ PRÉSENCE SUR LE FORUM: Fluctuante pendant les vacances, . Je dirais en moyenne, 4/7J. ❖ OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: Ca fait longtemps que je le connais mais je m'y suis jamais inscrite, je pensais pas avoir le niveau et puis en plus j'écrivais plus beaucoup. Mais maintenant que le bac est derrière moi, j'ai repris goût au rp. Enfin je crois...c'est un test, x). ❖ COMMENTAIRES: J'étais impatiente que STH rouvre, je rôdais même sur le forum le soir de sa résurrection, . Je me suis pas inscrite tout de suite parce que je suis relativement lente dans la conception de mes personnages...Mais ce soir j'ai cédé. J'espère que je terminerai ma fiche dans le temps imparti, faut pas que l'inspiration me quitte... En tout cas, c'est toujours un très beau forum et le niveau d'écriture semble s'être conservé. Mais 4 anecdotes...c'est trop peu pour mon esprit pas synthétique, x). Ahem. ❖ EXEMPLE DE RP:
Dernière édition par Anouk C. McLoyd le Sam 30 Juil - 9:10, édité 5 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 11:09
Belmondo/Karina, mythique. Bienvenue sur STH.
Emma Avery
nombre de messages : 41 pseudo : Bella mood : Sauvage stabilité mentale : 0
IN MY DREAM years old: 22 ans job: Mannequin me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 12:05
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche
Joaquin merci pour la vidéo
June Bowmann
nombre de messages : 64 pseudo : rosedelight, maud. crédits : rosedelight. mood : extatic. boîte à musique : patti smith, because the night. stabilité mentale : 12
IN MY DREAM years old: 24. job: employée au pôle emploi. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 12:28
bienvenue
Leann McBooth
nombre de messages : 199 pseudo : pleasure, jenn. crédits : (c) midnight wraith (avatar), psychozee (sign). mood : "If you can make a girl laugh, you can make her do anything." (marilyn monroe) stabilité mentale : 5
IN MY DREAM years old: 22 ans. job: apprentie vétérinaire. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 12:29
Bienvenue sur le forum.
Marlowe Koestler
nombre de messages : 53 pseudo : OARISTYS. crédits : BEATNIK BEAST. mood : SO FUCKED UP stabilité mentale : 0
IN MY DREAM years old: twenty-four job: journalist me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 20:22
Magdalena est sublime et en plus elle n'est jamais prise sur les forums, garde-la
Bienvenue :)
Blaise C. Anderson Peace&Love ♦ prosterneur officiel de la Terre Sacrée
nombre de messages : 2661 pseudo : tenshi, caribou, camille. crédits : young folk ~ avatar ; tumblr ~ gif mood : confus boîte à musique : les frites bordel ! • thomas dutronc ; secret • émilie simon ; mad world • gary jules ; depeche mode • wrong ; peter gabriel • sarkness ; renan luce • le clan des miros ; led zeppelin • who whotta love ; queen • bohemian rhapsody ; cocoon • tell me ; simon & garfunkel • scarborough fair. stabilité mentale : 1
IN MY DREAM years old: vingt cinq ans. job: bassiste, pianiste. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 22:11
Bienvenue sur la terre sacrée ! encore une Camille, je crois bien que ça nous en fait quatre (dont moi (a)) je file te réserver cette sublime magdalena. bonne chance pour ta fiche !
October Rosenbach ANTIQU'ADMIN ;ou déesse de la sagesse
nombre de messages : 5572 pseudo : Octou,Vieux Débris, LittleItaly, Cloé sans H crédits : (c)Colorblind(avatar)//(c)Cycy-cycy(signature) boîte à musique : Peter Von Poehl || The Story of the impossible Cat Stevens || Wild World Hooverphonic || Mad about you Muse || Feeling good Cocoon || American Boy
stabilité mentale : 11
IN MY DREAM years old: 24 job: Disquaire me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 28 Juil - 22:14
Bienvenue!
Sublime choix d'avatar!!
Anouk C. McLoyd
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Ven 29 Juil - 12:37
Merci pour cet accueil ! Soit, je vais prendre Magda alors !
Joaquin ==> J'ai vu Pierrot le fou y a pas longtemps, je suis tombée amoureuse de cette chanson ! <3 Blaise ==> Les Camille ont la classe interplanétaire, c'est inné chez nous ! Plus y en aura, mieux l'Humanité se portera,
Bon ma fiche, je la fais au feeling hein...J'organiserai tout ça plus tard !
Castiel W. Marshall
nombre de messages : 37 pseudo : LEILAN crédits : ALLES •• TUMBLR mood : UPSET stabilité mentale : 5
IN MY DREAM years old: VINGT ET UN ANS job: ÉTUDIANT & PROJECTIONNISTE me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Ven 29 Juil - 13:07
Bienvenue sur sth Han Magdalena, garde-là ** ça fait si longtemps que je ne l'ai pas vu (et je ne l'avais jamais vu en dehors d'un de mes pvs, je crois xD) Bref Han je n'ai pas tout lu mais ta fiche vend du rêve, c'est beau
Anouk C. McLoyd
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Ven 29 Juil - 13:25
Merci ! <3 Moi non plus je l'ai encore jamais vue sur un forum, bizarre parce que je trouve qu'elle a un visage superbe. Mais Gemma, je l'aime d'un amour inconditionnel, . M'enfin j'ai imaginé le personnage d'Anouk sous les traits de Magda donc je vais la garder. Bon je blablate mais osef.
Oh, c'est gentil ! Y a quelques incohérences(et puis des fautes aussi) qui trainent quand même mais bon...Merci !
Blaise C. Anderson Peace&Love ♦ prosterneur officiel de la Terre Sacrée
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IN MY DREAM years old: vingt cinq ans. job: bassiste, pianiste. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Sam 30 Juil - 2:25
je suis bien d'accord avec toi
Sally Hotchkiss
nombre de messages : 685 pseudo : selmix crédits : avatar aeroplane ; gif tsouri ; paroles archive - fuck you boîte à musique : the doors; people are strange stabilité mentale : 9
IN MY DREAM years old: 24 job: jongle entre les petits boulots. actuellement, travaille alternativement dans un bar à soho et une librairie de camden town. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Sam 30 Juil - 23:16
Anouk C. McLoyd a écrit:
Bon ma fiche, je la fais au feeling hein...J'organiserai tout ça plus tard !
il est plutôt cool ton feeling. bienvenue. je ne connaissais pas du tout magdalena, mais c'est vrai qu'elle est superbe.
Leo Monahan
nombre de messages : 43 pseudo : revenge. crédits : catwalk culture. boîte à musique : rolling in the deep . linkin park isadore . incubus baby says . the kills bullet the blue sky . u2 r-evolve . 30 seconds to mars in venere veritas . him kashmir . led zeppelin hurricane . bob dylan hometown glory . adele stabilité mentale : 0
IN MY DREAM years old: 25. job: médecin. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Sam 30 Juil - 23:31
Bienvenue ! Tu as bien fait de garder Magadalena, tellement peu vue. Et j'aime beaucoup ce titre de Nouvelle vague
Anouk C. McLoyd
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Mer 3 Aoû - 6:46
Sally ==> Il est capricieux surtout, x). Merci en tout cas ! Taylor la magnifique, <33
Leo ==> Elle finira bien par devenir à la mode Magda, c'est pas pas possible autrement ! Ouais, je fais une cure de Nouvelle Vague en ce moment. Bref, merci à toi aussi ! :)
Ahem, je voulais prévenir d'une absence de jeudi à dimanche voir lundi, pour cause de vacances imprévues, x). J'espérais finir ma fiche d'ici là mais c'est plutôt mal parti...Donc je quémanderais bien un ptit délai siouuuuplait !?
Sally Hotchkiss
nombre de messages : 685 pseudo : selmix crédits : avatar aeroplane ; gif tsouri ; paroles archive - fuck you boîte à musique : the doors; people are strange stabilité mentale : 9
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Jeu 4 Aoû - 10:17
pas de soucis pour le délai. ça me donne envie de partir, moi aussi. => profites en bien !
Sally Hotchkiss
nombre de messages : 685 pseudo : selmix crédits : avatar aeroplane ; gif tsouri ; paroles archive - fuck you boîte à musique : the doors; people are strange stabilité mentale : 9
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Sam 20 Aoû - 1:22
un délai t'as été accordé il y a plus de deux semaines, et tu n'as pas donné de nouvelle depuis. je déplace dans les fiches en danger, et si tu ne réagis pas d'ici demain soir, je libère l'avatar. (à contre-coeur, parce que magda )
Sally Hotchkiss
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IN MY DREAM years old: 24 job: jongle entre les petits boulots. actuellement, travaille alternativement dans un bar à soho et une librairie de camden town. me you us them:
Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins. Dim 4 Sep - 3:11
faute de réponse, je libère l'avatar, et déplace vers les fiches abandonnées.
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Sujet: Re: Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins.
Ma ligne de chance, l'oiseau frivole de nos destins.
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