• Elle a des yeux d'océan, ils changent de couleur selon la force du vent, se dispersent, papillonnent, vont et viennent et volent en écume contre les récifs.
• Elle est froide, frigide, glacée, même. Même si elle fond très facilement. Elle te contemple avec ses yeux assassins, et une fois qu'elle t'a enterré sans un mot, elle se permet un sourire timide et écrit du bout des doigts 'je t'aime' dans la poussière que te recouvre...
• c'est elle que la flamme consumme, elle que le néant dévore, elle qui s'éteint sous la brulure, elle que le vide enlace et ses pas qui se cognent au murs.
• Elle a su écrire, mais là, tu vois, elle n'y arrive plus. Et elle déteste, ça.
• Elle freine, elle vacille au bord du gouffre, et c'est le prochain courant d'air qui va décider si elle ira rejoindre les cailloux que ses pieds ont envoyés sans faire exprès dans l'abime.
• Ton coeur, si tu savais comme elle...La dépendance à tes paroles, connard, est bien futile, dans un tel silence.
• Est elle à court de haine, à court d'amour, juste une envie de réalité gestuelle, sentir une vie contre la sienne ? Elle voudrait pouvoir en rire, de ses errances. Méfiance. Laisser tout déborder comme un bateau s'inonde. Esquiver ses fuites quand notre tonnerre gronde.
• Tatoué au creux de la chair : Au jeu de l'ignorance, le hasard est seul roi.
J'aurais aimé, je pense, te voler contre moi.
• Fallait pas lui tout dire ça. Fallait pas prendre le risque de la laissait s'attacher. Alors, rien que pour ça, elle ne veux pas grandir. Ce matin là, elle n'ouvrira même pas les yeux. Parce-que elle sait déjà combien ce sera gris derrière..
• Elle l'appelle martyre. Sans majuscule. Et même qu'elle voudrait l'étrangler, pour qu'il se taise et la laisse dormir. Même qu'elle joue avec les gens comme autrefois elle tordait des brins d'herbe. Un petit funambule fragile sur le rebord de la table, s'il ne l'aime pas, il tombe. Il s'écrase à terre, et puis elle, elle rigole encore.
• Elle a cette boule dans le gorge, ces griffes plantées dans les poumons. Si elle s'écoute, alors tu ne peux pas, l'aimer. Vraiment pas. Comme les autres avant. Mais qu'est c'qu'on s'en fou hein ?
• Bien sur, elle dit qu'elle pleure toujours pour rien, qu'il ne faut pas y faire attention. Mais ça, à force, elle n'est plus si sûre que ce soit la vérité. Elle a envie de rire, mais pas comme il faut. Envie de rire, parce-que la vie, c'est tellement, trop fragile. Parce-que ce serait si facile, et que c'est tellement tentant, parfois. Rire, parce-que tout n'est qu'un jeu. Rire, parce-que elle amoureuse de ses yeux, alors qu'elle ne sait même plus qui c'est.. Juste parce-qu'ils avaient un éclat singulier, que derrière toutes ses façades ils l'ont vue quand même. Rire, mais sans même un sourire. Rire à en pleurer, tellement froide, tellement détachée...
• Pas jalouse dans le sens jalouse. Jalouse dans le sens d'être en dehors. Jalouse dans le sens "et moi, j'existe aussi, tu sais?!"
• Elle est pleine de défauts. Elle a le coeur bourré d'antalgiques. Alors forcément, ça laisse peu de place aux sentiments. Arsene est hermétique. Elle s'immerge bien au fond de son cocon, bien à l'abri derrière sa bulle, elle cimente et bétonne un peu plus son mur à chaque tournant. Elle rêve. Un peu, beaucoup, passionément, à la folie.
• Dans son monde, il n'y a même pas de silence. Il n'y a que le vide. Alors elle invente des cris, mais elle ne les entend pas, elle les sent juste quand ils lui lacèrent le coeur.
• La haine ronfle au fond de sa gorge comme un félin tapi dans l'ombre de l'hérésie. Il s'enfuit. Alors son coeur se cuit, son coeur s'auto-détruit pour un sale égoïste, au sourire trop alléchant. La panthère noir et aigrie fait une indigestion de viande pourrie, pauvre enfant.
• La rue d'en face, et dans ses yeux, l'impasse... D'accord, il s'en va et elle se tait. Mais elle ne peux plus... Se cogner dans les murs, encore, toujours... Mais comprend qu'elle en tremble, que ça fais mal... Comprend qu'elle sombre...
• À son retour, comme un roi devant sa cour, elle sera comblée puis malmenée, encore et encore. Un drôle de corps à corps. Il faudra des averses, des orages, de l'eau par paquet pour le diluer, encore et encore. Leur torturant accord.
• Elle est brillante d'orgueil. Tel une luciole de fierté elle illumine vos vies putride jusqu'au cercueil. Et elle déteste la gueule des écurueil, l'odeur du cerfeuille, ses foutus article qui lui font de l'oeil.
• Au plus loin de la nuit, là où la cigarette est son dernier rempart, elle veux le tuer. Sentir le sang couler, mieux qu'un polar, qu'un roman de gare, le massacrer. Et si on jouais à que t'avais mouru ?
• Et sa tourne, ça vire, comme une barque qui se détraque. Une conscient plus emmerdée qu'un bric-à-brac. Tu sais Lowe, le premier soir tu étais soul, bourrer. Maintenant c'est moi qui suis soulée.
• On lui a toujours dit : voir, c'est ce que le paysage impose aux yeux... Regarder, c'est ce que les yeux volent au paysage... Elle a l'insoutenable impression qu'avec ce con, elle voit sa vie défiler sans pouvoir la regarder.
• Sur un air inconnu, ruissellent des larmes au goût amer... Il manque des gestes, il manque des mots, il manque un nom pour tout refaire. Un enfer qui se parfaire, sûrement qu'elle a confondue étoile et réverbère. Quoique nomade, comme il sait si bien le faire.
• Elle arrive dans sa chambre aprés une autre journée. Le sourire collé aux lèvres prète a vous briser. Elle semble distante, tellement blasée. Puis dans sa tête cette voix résonne , acharnée... Une fois dans le miroir son regard plongé, elle la laisse chuchoter. " Je sais , tu n'es plus qu'une enveloppe déchue, tu n'es plus qu'un vulgaire assemblage de particules démembrées. Tu finiras par exploser de douleur. Je suis sûre que tu ne sens plus tes sens, je sais que tu ne pressens plus rien, que la chaleur ne t'atteint pas, que sous tes doigts plus rien ne roule. Mais je sais, que la souffrance t'envahis. " Et elle étouffe son cri.
• En fin de compte, ça l'ennuie vraiment d'être née à cette époque. Il ne faut pas vraiment être prophète pour s'apercevoir qu'aujourd'hui, c'est la merde. Elle aurait voulu être chaste, mature, réfléchie, savoir écrire des trucs aussi biens que lui... Elle aurait voulue être une artiste, tiens. Le pire, c'est qu'elle va peut-être mourir d'amour. Révoltant. Consternant.
• Mais à la place de tout ça, elle est idiote et puérile. Autant qu'elle l'assume. Elle se dit qu'au final, l'important aujourd'hui est d'essayer d'avoir un miroir pas trop terni, malgré toutes les petites gouttes de pluie pourries qu'on ingurgite. Ou nous fait ingurgiter, en fait. Elle espère que ce n'est pas tout ce qu'il nous reste.
• Alors elle casse sa télé, éteint la lumière, claque la porte et se barre, en fait. Dans la joie et la bonne humeur. Youpie.
• Elle a parfois peur de tout ça, quand elle ne fait pas qu'accepter la mort proche qui va nous choper au vol. Pourquoi elle dis "tout ça"? Parce que "ça" n'a pas de nom. Pour parler cruement, "ça", c'est la merde qui nous tombe dessus actuellement. Mais elle a dit qu'elle était puérile. Donc, mauvaise perdante.
• Elle croit aussi, que plein de gens s'en foutent, de tout ça. Elle regarde par sa fenêtre et elle voit le soleil. Elle aimerai vivre. Elle aimerai vivre libre. Et que la liberté ne soit pas que le songe d'une nuit d'été.
• C'est un vide presque palpable. Une absence au creux du corps, qui descend le long des reins, s'attarde près de son coeur. Tu as l'odeur de ces putain de fleur qui décorent les cimetière, comme un fameux malheur.
• Elle reste assise à sa fenêtre, bras ballants, jambes dans le vide. A regarder le ciel trop grand, trop emconbrant. Ce ciel qui bouffe tout l'horizon. Ce bleu qui la ronge de l'intérieur, qui avale toutes ses belles paroles.
• Elle se traîne, regard absent, de pièce en pièce, de rues en rues, de jour en jour. Les heures défilent, longues angoisses à serrer le ventre. Elle serre convulsivement les doigts, passe sa paume sur sa joue. Pour vérifier qu'elle est bien là, toujours bien vivante. Et même lorsqu'elle sent la peau douce et tiède qui palpite sous ses doigts, elle n'y croit pas.
• Elle se cherche. Mais elle ne trouve jamais dans les images qu'un corps sans vie, un morceau de chait à vif, emprisonné, serré, un chiffon écorché qui traîne. Informe, illisible. Un puzzle en attente.
• Et viens pas lui dire à elle qu'ici c'est une vie : c'est bien moins que ça, c'est rien qu'un montage vide sur lequel on pourrait cracher.
• Viens pas lui dire à elle qu'au fond ici on s'aime, parce-qu'elle te raye de sa vie sur le champs : On s'aime pas, on s'illusionne et on s'déchire.
• Elle. Sature. Et c'est joliment dit, comme dirait l'autre.
• Elle va faire crier ses notes jusqu'à en avoir les doigts écorchés, s'imprimer le soleil jusqu'à ce qu'il reste gravé dans ses rétines, marcher sur les lignes jusqu'à c'qu'elles dansent devant ses yeux, faire éclater des bulles jusqu'à avoir sur les lèvres un goût d'savon qui n's'en ira plus.
• Alors venez pas lui dire qu'il faut s'enfermer, sans sa liberté elle, elle vit pas. *Souriez*
• Elle se dit, parfois, souvent, tout le temps... Et pourquoi pas que, tu me prendrais dans ta main. Tu refermerais tes doigts sur moi. Tu me mettrais dans ta poche. Et tu m'emmènerais avec toi. Comme ça elle ne mourra pas de froid.
• AMERTUME, croit elle...
• La porte claque, elle ne bouge pas. Elle ne dit jamais rien quand il s'en va, elle ne dit jamais rien du tout, d'ailleurs. Elle se tait parce-que sa voix la trahit trop, parce-qu'à force de la laisser s'user on dirait qu'elle a des éclats de verre en travers des lèvres.
• Alors elle parle avec les mains.
• Elle pêche dans les vieux mots des bonhommes rouges un remède à la mélancolie, mais décidemment, cette couleur ne leur va pas.
• Elle les aime comme l'arc en ciel. Goutte de suie. Trace de pluie
• Elle s'en va retracer la nuit puisque ça manque d'étoiles filantes. Le temps c'est long, mais le pire, c'est qu'elle aime ça. Collectionner l'éternité seconde après seconde. Dis-lui, encore, dis-lui. Tout c'que le levé du jour ne pillera pas.
• Si elle échoue, elle a promit qu'elle ne s'en plaindrait pas, et qu'elle s'en sortirait toute seule.
• Une petite flamme fait qu'elle doit vivre en relevant la tête.
• Gentille mais dangeureuse... Parce-qu'elle veux tout, maintenant. Parce-qu'elle ne veux que la vérité. Parce-qu'elle s'est emmêlée dans un rêve.
• Elle ne l'a jamais sue, leurs couleurs. Dans ses yeux ça, ça n'existe pas. Mais elle te laissera lui inventer, un jour, si tu veux.
• N'est-elle qu'un mensonge imparfait ? En tout cas elle n'est pas condamnable, mais elle est haïssable.
• Elle a mal au ventre de ne savoir retenir personne. Alors elle se trouve fausse jusqu'au bout des ongles.
• C'est parce qu'elle n'est qu'une abrutie de sentimentale. Mais là encore, rien à cirer. Elle essaie de se souvenir comment ils en sont arrivés là.
• Elle aura le mal de toi quand elle n'aura plus d'aire. Sachant que dans cette ville la caresse du vent lui semble devenu soufre remonté des entrailles de la terre. S.O.S salope nombriliste née le cul dans la soie est en détresse.
• Elle a peur de se réveiller le matin et de voir le lit plein de sang, un truc trop gros, trop mou et pleins de trous inerte au milieux des draps. Faudrait-il encore qu'elle dorme.
• Peut-être qu'un jour elle comprendras, que la routine, non, ce n'est pas pour lui et que c'est comme ça. La vie ne le changera sûrement pas. D'ailleurs, caractère de fille corse ou pas. Nah.
• Ici elle vit dans des paillettes vomitives, quelque chose d'approchant le ras-le-bol des podiums. Et surtout, eux, tous, tous ceux que les couloirs avalent et recrachent, et si peu de vrai lumière. Ce qui la rend malade. À en crever d'ailleurs, la gueule écrasée sur un si joli pavé. Ça ferait une tâche dont son âme se marrerai.
• Elle fait semblant de rire, de dire que ce n'est rien, une histoire de gamin. Mentir.
• Son enfance a conservée le goût doux-amer des bonbons à la réglisse, quelque chose d'écoeurant et de rassurant. Un paradoxe qui l'habite et qui lui plait dans une démesure que personne, oh ça non personne, n'a le droit de critiquer. À moins de vouloir se prendre un coup dans les dents mode Andreani. (et je vous jure qu'il y a de quoi courir, terrorisé, très, très loin d'ici)
• C'est comme si elle était entrain de couler sans m'en rendre compte. Jusqu'au jour où elle n'aura plus d'air et qu'il sera trop tard pour remonter à la surface. Enfin, peut-être, peut-être pas...
• Tu sais, qu'elle a envie de te parler, mais qu'elle ne peux pas... Salopard.
• Et puis même si elle en meurt d'envie, elle ne peut pas s'inviter dans ta vie. Ou si ? Elle ne sait pas. Et c'est bien là tout le problème.
• Tu vois, elle veut du soleil, elle veut des sourires. Elle veut pas voir ses étoiles tomber. Parce-que si elles brillent, alors ses yeux aussi. Et que les larmes d'étoiles, ça lui fait mal comme des cailloux.
• Elle ne veut pas pleurer, putain. Elle veut sortir de cette prison.
• Elle veut avoir le droit d'aimer sans qu'on ne lui dise rien. Après la pluie dans son coeur, elle veut l'arc-en-ciel. Dis, tu crois qu'un jour il m'attendra ?
• Elle marmonne, quand de la neige obstrue trop ses voies respiratoires : ne me mange pas, ne me viole pas, ne me torture pas, ne me fais pas mal, ne me déchire pas, ne me saigne pas, ne me sectionne pas, ne me glace pas, ne me blesse pas, ne me mord pas, ne me quitte pas, ne me dis pas ça, ne me laisse pas...ne me laisse plus...
• Elle n'aime pas ouvrir la bouche. Elle aime bien mordre ses lèvres, et elle aime bien le goût du sang au bout d'un moment, parce qu'au moins elle sait qu'elle en a pour un certain nombres de minutes à fermer sa gueule, et ceci avec une bonne excuse.
• Elle est drôlement comédienne, quand elle veut.
• Elle s'en fout, des conséquences, et du regard des autres. Mais laissez lui sa chance.
• Il s'est invité dans ses rêves, sans permission et a finit par les faire voler en éclats. Pour recoller des morceaux aussi coupants, aussi nombreux, il faut une patience d'ange qu'elle ne possède, malheureusement pas.
• Elle refuse, catégoriquement, avec véhémence, d'abandonnait du regard le ciel et les étoiles. Et ce même si les distances qui l'en séparent, elle n'est pas sûre d'avoir le droit de les effacer.
• Et du bout des doigts elle a soufflé dans l'air des bulles de rêves, puissent-t-elles te parvenir au delà des frontières.
• A vos sourires, à l'étoile de tes yeux, elle veut croire que de ses larmes s'illuminera l'espoir.
• Les absents ont toujours tort, paraît-il. Alors si elle voulait elle pourrait te faire payer, à crédit évidement, les fuites et les vides que tu lui balances en pleine gueule depuis quelques années. Tu es sacrément endetté, et quelque part, ça, au moins, ça la fait bien rire si tu savais. (sous-entendu la prochaine fois tu dormira chez toi, crevard)
• Ses yeux ne traquent pas, ils se réveillent quand c'est fini, quand le coin de la rue est déserté, quand le chef de gare a déjà sifflé. Ils fusillent quiconque ose la juger, quiconque aurait l'idée tellement saugrenue, et suicidaire, de lui faire la moral. Ils défient pour ne pas pleurer.
• Elle a des yeux qui tuent, paraît-il. Un regard comme une lame de couteau. Et croise le, t'as des éclairs en plein coeur. Pan, t'es mort.
• Elle hait l'espoir, parce qu'il te porte aussi haut qu'il te laissera tomber. Puis t'abandonnera, brisée, sur la bat côté.
• Elle se demande de quelle couleur sa saigne les étoiles. Si elles peuvent crier, pleurer, rire, si elles ressentent quelque chose parfois.
• Elle se souvient. Le soleil qui avait chassé ses averses , et l'astre qui avait le goût enivrant de tes lèvres. Elle se souvient. Le silence qui avait reprit sa place, et son brouhaha perfide qui... qui... Pardon, mais c'est...(dite vous qu'elle est so fuckep up, avec une paille dans le nez)
• Elle ne porte jamais que des parfums d'homme. Rien que pour emmerder ceux qui disent que ça ne lui va pas, rien que pour le faire bander parce que lui il aime ça. Elle porte angel parce que ça la fait se fendre sérieusement la gueule et puis voilà.
• Son arme de prédilection est l'attentat à la bombe artisanale. Elle a d'ailleurs dans son appartement tout un arsenal. Vous vous faites déjà la malle ?
• Elle ne supporte pas les films d'horreur, mais affectionne particulièrement en regarder avec toi, parce qu'elle peux se blottir dans tes bras sans, trop, entacher son orgueil.
• Bleu, bleu nuit, bleu canard, bleu roi, bleu vert, bleu gris, bleu azurite, bleu prusse, bleu cobalt, bleu phtalocyanine, bleu outremer, bleu klein, bleu égyptien, bleu indigo. Mais pas de bleu ciel. Ou seulement si vous lui offrez des ailes.
• Elle se demande si elle pourrait lui crever les yeux à coup de talons aiguilles.
• Elle aurait voulu être un homme, fort et macho.
• Elle ne porte jamais comme maquillage, que du rouge à lèvre obscure. Le contraste avec sa peau opaline arrive toujours à la remettre, au moins un peu, de bonne humeur.
• Elle ne reniera jamais ses origines, et méfiance à qui ose s'en moquer.
• Elle l'aime. Si ça c'est pas un putain de problème.