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Sujet: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 11:59 |
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LUKE GRIMES PAR APPLESTORM.
BASIC ELEMENTS ARE mercury nash benjamin
❖ AGE: Vingt-quatre ans. ❖ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: sept octobre quatre-vingt-six, Chicago. ❖ NATIONALITÉ: Américain. ❖ PROFESSION: Professeur de dessin, et pianiste, à ses heures perdues. ❖ ÉTAT CIVIL: Célibataire. ❖ QUARTIER: Camden Town.
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REAL ELEMENTS ARE ❖ AVATAR: Luke Grimes. ❖ PSEUDONYME: Applestorm, Lula. ❖ PRÉNOM: Louise. ❖ AGE: Va sur ses dix-sept. ❖ PRÉSENCE SUR LE FORUM: Régulière. ❖ OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: bazzart, sans doute ? en fait, je sais plus, ça fait un bout de temps que je le connais, et j'ai toujours voulu m'y inscrire. maintenant qu'il est réouvert, je laisserai pas ce forum me filer entre les doigts ! ❖ COMMENTAIRES: Luke, je suis ton père. Et puis, VIVE STAIRWAY TO HEAVEN. ❖ EXEMPLE DE RP:
- Spoiler:
Dans le genre buté, je demande la fille et le garçon. Les… quoi, au fond ? Camarades de classe ? amis ? amoureux ? Peu importe ! pourrait-on lancer, décidant d’un coup de vivre au jour au le jour, sans se soucier de la futilité des émotions. Mais non. C’était là que résidait tout le problème. Pourtant, Micah n’était pas du genre têtu comme une mule. Du genre à n’écouter que lui. Du genre à foncer tête baissée une fois qu’une idée avait germé dans son esprit. Il savait s’avouer vaincu, et reconnaissait ses tords lorsqu’il le fallait – certes pas de bon cœur, mais il le faisait. Là, tout de suite, il ne savait plus distingué le bon du mauvais, le vrai du faux. La raison au tord. Sans doute était-ce l’une de ces situations où toutes les alternatives ont leur quota de raison, et de tord. Il avait l’impression que quelle que soit la solution qu’ils choisiraient, l’un serait du côté sombre, l’autre du côté clair. Ou alors, ils resteraient dans le gris, et ça ne serait plus qu’un cercle vicieux les rendant fous, l’un comme l’autre. Excessif ? Peut-être un peu. Mais pas tant que ça. Qui pourrait nier la complexité des sentiments ? Il arrivait que le plus simple des dilemmes se transforme vite en véritable cauchemar, lorsque l’on s’attarde trop dessus, le faisant tourner et retourner dans son esprit, tentant vainement d’y trouver une solution. Et puis, ils pouvaient décider de faire chatoyer leur monde de mille couleurs. Comme un feu d’artifice perçant la nuit. Comme un arc-en-ciel sous le soleil. Comme le moment le plus fort d’une chanson. Comme un dessin d’enfant. La vie de Micah avait-elle jamais rayonné à ce point ? Il ne pouvait le dire. Autant que pouvait l’être un ado vivant de la façon exacte dont il l’entendait, il était heureux. Oui, heureux. Mais son quotidien était-il beau à ce point, lui aussi ? Cette simple question – je t’aime ? je ne t’aime pas ? – le faisait remettre en doute la moitié de ses convictions. Quoi, Micah ? Tu te plains encore, alors que tu as tout ce que tu peux souhaiter avoir ? « F… Fais pas ça. Te sacrifie pas pour moi. C'est pas un jeu, il doit pas y avoir de gagnant ou de perdant. » Elle pleurait, tremblait – ce qu’il ne vit pas. Et c’était sûrement mieux ainsi, car il ignorait sa réaction dans le cas contraire. Il préférait presque ne jamais le savoir. « J’ai l’impression que si, pourtant. » Son timbre était grave de nature, voire presque un peu rocailleux, et pourtant, sa voix se faisait basse et douce, comme s’il avait parlé à un enfant en bas âge ayant besoin d’être rassuré, juste après s’être fait grondé pour avoir fait une bêtise. Mais lequel des deux était l’enfant ? Judy ? Ou Micah ? Au fond, lequel, ou laquelle, des deux doutait ? Ignorait totalement ce qu’il voulait ? On pouvait dire ce que l’on voulait, ce n’était pas Judy. Le brun ne savait que faire. Était-ce l’un des grands principes de la vie, que l’existence soit sans cesse compliquée par des éléments imprévus ? Des jours paisibles, sans devoir se retrouver confronter à ses sentiments étaient-ils impossibles à avoir ? Apparemment. « On arrête. Tout. Oublie. (…) Je sais que ça n’a aucun sens. » Lentement, il redressa le visage. Quoi encore ? Pourquoi ? Pourquoi étaient-ils incapable de prendre une décision et de s’y tenir ? Étaient-ils voués au flou pour le reste de leur existence commune ? Sans pouvoir s’en empêcher, il sonda son esprit pour tenter de comprendre quels sentiments il éprouvait en réaction aux paroles de Judy. Mais s’il ressentait quelque chose, n’était-ce pas censé être évident ? Le fait qu’il doive prendre sur lui n’était-il pas le signe, justement, qu’il n’y avait rien ? Ou était-il simplement trop bouleversé pour être réactif ? Il avait si peu l’habitude de ce genre de scène qu’il ignorait totalement ce qu’il était censé penser, faire, éprouver. Des milliers de questions défilèrent dans l’esprit du brun, incapable de les retenir, même si ça devait le rendre fou. D’un bond, elle tourna les talons, le faisant sursauter. Par réflexe, il l’imita, bondit sur ses pieds. Ca ne pouvait pas se terminer comme ça. Un « oui », un « non », mais pas un « peut-être », pas un « je ne sais pas », pas un « on verra plus tard ». La plaie était ouverte, à présent, alors il fallait la nettoyer, la soigner, et pas la laisser saigner. Sinon, ça n’en finirait jamais. Et il faudrait peut-être des jours, des semaines, des mois, avant qu’ils ne puissent discuter à nouveau. D’un autre côté, Micah aurait donné n’importe quoi pour revenir en arrière et ne pas tourner la tête à l’entrée de Judy dans la salle commune des Durmstrang. D’une enjambée, il la rattrapa, lui prit le poignet, pour la deuxième fois. Pour ne plus savoir que faire ensuite. Il commençait à comprendre quel genre de fille était Judith. Non, en réalité, il avait toujours plus ou moins su qu’elle était très différente de celles qu’il côtoyait habituellement, qui pouvait passer la nuit avec lui et ne plus lui parler le lendemain, qu’elle avait besoin de repères, d’amitié, d’amour, qu’elle était vraie. Mais il n’y avait jamais réellement prêté attention. Ses doigts lui intimèrent de s’arrêter, de lui faire face. Il se pencha vers son destin, les yeux écarquillés par son impuissance totale à comprendre son propre esprit, et ses mains glissèrent vers son corps, le frôlant pour entrer en contact avec la froideur du mur, la prenant au piège. Ses lèvres hésitantes et volontaires brisèrent les non-dits qui les repoussaient chacun de leur côté, s’arrêtèrent à quelques millimètres de leur fruit défendu, comme apeurées de violer sa pureté. « Tu… me rends fou, tu me fais douter de tout ce dont j’étais sûr. Personne n’y était jamais parvenu… » Un murmure, soufflé comme un aveux. Entre ses lèvres humides, sa voix tremblait. Embrasse-moi. Embrasse-la. Doucement, il se penche.
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Dernière édition par Nash Mercury le Mer 20 Juil - 3:38, édité 9 fois
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 11:59 |
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uc. La tolérance. La compréhension, l'indulgence. Appelez ça comme vous voulez. La tolérance. Vertu que chaque parents, chaque tuteur, chaque personne en charge d'un plus jeune, se doit de transmettre audit plus jeune. À sa façon, certes, mais cela reste une des qualités qu'un enfant en bas âge, et même un adolescent doit apprendre. Sauf que des fois, elle ne survient pas comme on s'y attend. Mais alors là, vraiment pas. Et là, confronté à une situation que jamais on aurait pensé devoir appréhender, on se dit... Mince. Pourquoi ? ( x) seize ans -- septembre deux mille trois.« Oh, Mercury. Mercury ! » L'adolescent se raidit. L'air à la fois moqueur, exalté et dégouté que trahissait ce simple nom lui indiqua aussitôt ce à quoi il allait avoir droit. Gardant le regard rivé sur son syllabus de latin, il attendit patiemment que ce parfait crétin ne se lasse de l'appeler. Ce qui n'arriva pas. Ça n'arrivait jamais. En sentant une ombre au-dessus de lui, il soupira d'agacement, et redressa à peine le visage. Le garçon de son âge qui lui faisait face affichait une expression narquoise, et un sourire carnassier, tandis que la fille qui se tenait juste derrière lui, au contraire, le regardait comme s'il avait été une immondice, l'air singulièrement dégoutée. « Quoi ? » grogna-t-il, parfaitement conscient que ce serait encore pire s'il refusait obstinément de répondre. Nash, seize ans, presque dix-sept, était assis seul à un banc au fond de sa classe. C'était la première fois qu'il s'asseyait à cette table, et surtout, la première fois qu'il s'asseyait seul. Par réflexe, sans vraiment savoir si c'était lui qui ressentait le besoin de s'isoler, ou si c'était car il connaissait d'avance les réactions qu'auraient les autres à son égard, il avait volontairement évité la foule d'élèves qui se trouvaient devant le local. Y compris ses amis. Ceux qui étaient censés être là pour lui, dans les moments difficiles. Certes, il s'était lui-même mis à l'écart, mais lorsqu'il était arrivé dans la petite voiture bleue de sa mère, qui était très loin de l'énorme 4x4 de son père qui le déposait habituellement, et qu'il avait traversé le lycée, les mains dans les poches, les sourcils froncés et les yeux à moitié rivés sur les pavés des couloirs, aucun d'entre eux ne l'avait intercepté pour lui sourire, et lui faire comprendre que non, non, il n'était pas seul. Le garçon s'appuya sur la table de Nash, se pencha vers lui, et le fixa avec un air dans le regard qui ne laissait aucun doute sur ses intentions. « Tu sais que ton père est passé à la télé, hier soir ? » Le regardant droit dans les yeux, il ne répondit pas. Il s'était préparé. Préparé aux attaques de ce genre. Il refusait d'entrer dans son jeu, de leur montrer que leurs regards dégoutés l'atteignaient. N'acceptant pas l'indifférence de Nash, le garçon l'attrapa brutalement par la chemise, et approcha suffisamment son visage de celui du brun pour qu'il n'ait plus besoin que de susurrer. « Hein, tu le sais ? » uncerco. Je me suis toujours demandé comment les personnes ayant une particularité, quelle qu'elle soit, arrivait encore à se lever le matin en se disant que la vie n'était pas si injuste que ça, finalement. Les handicapés, les malades, les gros, sourds, ou aveugles. Inutile de se voiler la face, on a tous déjà suivi des yeux un aveugle, dans la rue... ( x) dix-huit ans -- avril deux mille cinq.HISTOIRE. Solitude. Douce absence de regards. C'est ce que disait Kundera. Mais cette phrase est-elle si juste ? Un simple regard peut-il vous tirer de votre isolement ? Être entouré d'un océan d'individus contemplant le blanc de vos yeux signifie-t-il qu'ils puissent lire au travers de ton cœur ? Non. Bien sûr. On est jamais aussi seul que lorsqu'on ne l'est pas. ( x) vingt-quatre ans -- décembre deux mille dix.25 NOVEMBRE 2010, aéroport.(...) — Maman, écoute, je suis sur le point d'embarquer là, on en reparle plus tard, d'accord ? — Non, Nash. Non, c'est hors de question ! C'est toi qui va m'écouter. Cet homme a pourrit toute la fin de ton adolescence. Il t'a fait honte, au point que porter le nom de Mercury est devenu un fardeau. Je le sais, Nash, je sais à quel point tu allais mal. Tu avais beau essayer de me le cacher, pour ne pas que je m'inquiète, je le sentais. — ... — Tu aurais du m'en parler. — Du fait que j'ai passer la pire adolescence qu'un gosse puisse connaître ou de la visite ? — Des deux. — Pourquoi ? Qu'est-ce que ça aurait changé, que je te dise que j'allais voir papa ? — Je t'en aurais empêché ! — Je sais, et c'est pour ça que je ne t'ai rien dis. — Mais enfin, Nash... Pourquoi ? Pourquoi être allé jusqu'en prison ? — ... Tout ce dont tu viens de le blâmer. Je voulais qu'il sache. Les passagers du vol Skywest 316, à destination de Londres sont attendus sur le quai d'embarquement.— Il faut vraiment que j'y aille, maman. Je t'aime. — Nash, non, ne... ! Bip.Il parait que quoi qu'il puisse arriver dans votre vie, qu'importe le mal qu'ils puissent vous faire, vous aimerez toujours vos parents. Car ce sont eux. Votre mère. Votre père. C'est comme ça, vous n'y pouvez rien. Haine superficielle, indifférence exagérée, amour indéfinissable. Il parait que quoi qu'il puisse arriver dans votre vie, qu'importe le mal qu'ils puissent vous faire, vous aimerez toujours vos parents. J'ai bien peur de ne pas vouloir que ce soit vrai. ( x) vingt-quatre ans -- décembre deux mille dix.L'homme était assis dans un coin. Figé. Silencieux. Les yeux rivés vers le sol. Depuis la porte, on ne distinguait que son ombre. Songeait-il ? Non, plus que ça. Il pleure. Sans bruit. Bouleversé. L'homme attend. Un exutoire. Son attitude est inhabituelle par ici, et surtout pour lui. Lui si orgueilleux, lui si secret. Lui dont personne ne sait rien, si ce n'est les actes malheureux qu'il a put commettre plus tôt dans son existence. « Jackson » murmura une voix. L'homme lève la tête, son cœur se gonfle de gratitude. Enfin. Ce n'était pas l'absolution, mais c'était le seul moyen d'avoir un peu de paix intérieure. Sans un mot, il se lève, chancelle jusqu'à la table placée au centre de la petite pièce, unique meuble décorant ce triste décor. L'individu s'y assied, et l'homme l'imite. « Jackson, que s'est-il passé ? » Un aumônier. C'est le nom que l'on donnait à cette personne. « Mon fils est venu, aujourd'hui. Je ne l'avais pas vu depuis sept ans. » La voix de l'homme se brisa, tandis que d'esprit, il revoyait le regard que lui avait jeté la chair de sa chair. « Il est plus grand que moi, vous savez ? Mon fils... Il a eu vingt-quatre ans en octobre. Chaque année, je lui écris, mais je ne lui ai jamais rien envoyé. Ça ne changerait rien. Il me déteste. » L'homme croise les mains, triture ses doigts, comme nerveux. Tandis que l'aumônier le laisse parler. C'est souvent ce qu'il fait. Il les laisse se défouler, se décharger de leurs peines. Puis, lorsqu'il sent qu'ils faiblissent, il commence à jouer son rôle d'accompagnant. Il les rassure, leur parle. Mais chaque aumônier est différent, au même titre que chaque prisonnier est différent. « Nash ne vous déteste pas, il ne comprend simplement pas vos choix et vos actes. » Légitime. Normal. La phrase semblait inconcevable, inhumaine, absurde. Qui aurait put comprendre une telle chose ? Lui-même ? Tout juste. L'homme hausse les épaules. Pourquoi discuter ? Un meurtrier n'a jamais raison. Pourtant, les paroles de son fils résonnaient toujours dans son esprit, le meurtrissant autant que s'il avait reçu une demi-douzaine de coups de couteaux dans l'abdomen. Non. Même ça, ça aurait été préférable. « Je sais que je ne suis pas objectif, mais c'était un gosse extraordinaire. Il a toujours été comme ça, Nash. Dans l'exagération - comme si la vie tout entière était une pièce de théâtre. Déjà lorsqu'il était enfant, il ressentait, agissait, vivait tout dans la démesure. C'est un passionné ! C'est dommage qu'il ne fasse pas plus confiance aux gens. » L'homme semble s'apaiser au fur et à mesure que le temps passe. Parler à quelqu'un qui ne le juge pas fait énormément de bien. « Comment ça ? » interrogea l'aumônier, conscient que c'était de ça que l'homme voulait discuter. Un jour, il lui avait confié qu'il était la seule personne pour qui il aurait été prêt à tout. « Je ne sais pas. C'est étrange, mais il ne s'est jamais vraiment intéressé aux gens. Il avait beau avoir de nombreux amis, sortir, vivre comme n'importe quel adolescent, il y avait toujours cette sorte d'indifférence. Comme s'il s'agissait plus de portes-flambeau que de véritables proches... Nash a désespérément besoin d'être entouré, mais il ne fait confiance à personne. » L'aumônier s'étonne. La sensibilité dont l'homme fait preuve en parlant de son fils l'étonne. Il avait beau penser qu'il y a un être humain même derrière les visages méprisants et indifférents de chaque monstre, c'était ce genre d'aveux qui le prenaient au dépourvu, qui lui faisait aimer son métier. Il était sur le point de lui demander pourquoi ce n'était pas à Nash qu'il disait tout ça, mais le grincement qui résonna dans son dos fit mourir sa question sur ses lèvres. Pas besoin de mots. Pas besoin d'appel. Le temps passe trop vite. « Je dois vous dire au revoir, à présent. Prenez soin de vous, Jackson, et continuez d'aimer votre fils autant que je sais que vous le faites. »
Dernière édition par Nash Mercury le Mer 20 Juil - 4:00, édité 10 fois
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Blaise C. Anderson
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 12:03 |
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luke réservé ! oh et puis bienvenue sur la terre sacrée (a) (oui, encore un pour la route (a)) par contre, comme écrit dans l'introduction des modèles de présentation, si tu pouvais écrire la date à laquelle tu as posté ta fiche dans la case description, ça nous aiderait beaucoup, merci (la date d'aujourd'hui, quoi, mais j'aime les longues phrases XD)
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Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 12:09 |
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à la trappe nicolas. enfin, je me consolerai avec luke, va. courage pour ta fiche. (a)
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Invité
Invité
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 12:12 |
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oups. Je t'assure que ça me brise le cœur de devoir abandonner Nicolas.
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October Rosenbach
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Sam 16 Juil - 21:13 |
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Bienvenue officiellement!!!!
En plus tu as gardé Luke!!
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Invité
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 2:43 |
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merci. puis je me suis dit que l'infidélité c'était mal, alors je conserve mon premier amour.
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October Rosenbach
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 2:51 |
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Oui très mal. Et avec Luke, je suis complètement aux anges, je construirai un temple en ton honneur!
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Invité
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 2:58 |
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mais un temple en sucre, sinon ça compte pas
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October Rosenbach
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 3:12 |
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Bien évidemment! Comme ça, je pourrai croquer dedans!
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Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 3:23 |
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ce serait pas un blasphème, de croquer le temple que tu as toi même érigé ?
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October Rosenbach
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 3:26 |
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C'est mon temple, j'en fais ce que je veux.
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Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 3:29 |
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pas faux. quoi qu'il en soit, j'aime beaucoup le début de ta fiche nash ! *regarde sa montre. ah mais oui, c'est l'heure de la minute narcissique. tu peux y aller. (a)*
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Invité
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Dim 17 Juil - 10:55 |
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tu me connais si bien, sally et puis si je voulais un temple en sucre, c'était pour que JE puisse croquer dedans. mais je te filerai un petit bout si il est bien fait. ET PUIS VOUS AVEZ FINI DE POLLUER MA FICHE FRANCHEMENT
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Blaise C. Anderson
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Lun 18 Juil - 1:32 |
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polluer une fiche ? mais c'est toute la vie d'une admin voyons ! *out*
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October Rosenbach
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Lun 25 Juil - 10:03 |
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Une semaine que ta fiche est commencée, je la déplace dans les fiches en danger. Sans nouvelle de ta part, je libèrerai l'avatar demain soir. Si tu veux un délai, il te sera accordé.
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Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. Mar 26 Juil - 10:46 |
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faute de réaction de ta part, luke grimes ne t'est plus réservé. c'est dommage, j'aurai bien aimé voir ce qu'il advint du temple en sucre et de ta fiche. => on espère quand même avoir de tes nouvelles !
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Sujet: Re: HOW TO BE AN ALIEN. |
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