JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED)
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Sujet: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:40
YURI PLESKUN PAR TUMBLR.
BASIC ELEMENTS ARE
Owsley, Jono Ewen
❖ AGE: 21 ans. ❖ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 13 février à Londres. ❖ NATIONALITÉ: Anglais. ❖ PROFESSION: Enchaîne les petits boulots. ❖ ÉTAT CIVIL: Célibataire. ❖ QUARTIER: Covent Garden.
REAL ELEMENTS ARE
❖ AVATAR: Yuri Pleskun ❖ PSEUDONYME: Raph' ❖ PRÉNOM: Raphaëlle ❖ AGE: 19 ans ❖ PRÉSENCE SUR LE FORUM: 5/7 ❖ OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: Bazzart ❖ COMMENTAIRES: Magnifique forum, magnifique contexte ♥ ❖ EXEMPLE DE RP:
Spoiler:
Parfois la soirée tourne bien. J'étais entré dans le bar persuadé que j'allais finir par gerber sur le bar en me faisant chier comme un rat mort et au final non, j'étais tombé sur Kaspar qui manquait de thunes et semblait prêt à tout pour en obtenir. Pauvre mec va. Moi ça ne me dérangeait pas, d'aller faire le tapin. On gagnait ça vie comme on le pouvait, et c'était pas aussi désagréable qu'on le pense, suffisait de ne pas être trop regardant, de mettre de côté tout ses goûts de luxes et notions d'hygiène basiques. On n'avait pas toujours la chance de finir sur la banquette arrière ou dans le motel du coin. Parfois fallait se contenter des chiottes publiques. Ouais, celles où les camés viennent se planter des aiguilles dans les veines et laissent leur matériel derrière eux, celles où le vieil ivrogne est venu vider sa vessie avec un problème de trajectoire. C'était un peu Koh lanta, l'amour à la barbare. Tout ça pour dire que moi, ça ne me dérangeait pas, que je faisais peut être ça par nécessité mais que je n'étais pas à m'en plaindre tous les jours. Kaspar lui, il atteignait les mêmes basfonds que moi, mais n'avait jamais fait le tapin. T'avais pire qu'un type dans mon genre comme premier coup d'essai. J'sais pas, ça se voyait à ses paroles que c'était pas vraiment son truc, qu'il avait plein d'idées dessus voire même que ça le dégoutait. Comme Yossi, qui m'envoyait des remarques à la gueule tous les jours. S'ils pensaient que j'en avais quelque chose à foutre de leur remarque. En attendant, l'autre juif, quand il avait besoin de thunes, il était bien content de voir que son coloc était allé taillé une pipe à un juriste du coin pour le déjeuner.
Anyway, ce soir, c'était moi le client. J'agite mon billet devant les yeux de Kaspar, une lueur de dédain dans les yeux. Si ça me fait bander de le savoir dans cette position ? Totalement. Il s'approche, murmure. « Bien évidemment. » Et lève le poing, l'écrasant sur ma joue et n'oubliant pas de retirer le billet que j'agitais – sinon ça n'aurait pas été drôle -. J'en avais presque oublié que ce fils de chien était un voleur à ses heures. Le choc me fait reculer de quelques pas, et je lâche un juron en portant la main à ma lèvre. Elle est un peu gonflée, risque de saigner si je m'en prenais une autre mais Kaspar semble pas vouloir s'acharner sur moi dans l'instant. Je relève la tête, tourne les yeux vers lui. Kaspar hilare, la clope au bec, ça m'arrache même un sourire en coin – plutôt mauvais le sourire, j'allais pas lui taper sur l'épaule en lui criant jolie coup -. « Bon, sinon ? » Mouvement d'épaules, je plonge la main dans la poche arrière de mon jean, pour en ressortir un nouveau billet. C'est la même chose que les machines à pièce, t'essayes trois ou quatre fois, tu perds la majorité du temps mais il y a forcément le coup gagnant. « J'en ai d'autres pour ré essayer. » Il doit me penser maso, que ça me plait qu'il me cogne et que c'est d'ailleurs pour ça qu'on continue à se voir de temps en temps plutôt que de tout le temps se faire la guerre comme deux personnes normales. On n'est pas normaux, on est complétement ravagés. J'sais qu'il y a plusieurs années de ça, le premier qui m'aurait foutu sur la gueule, j'aurais planifié la vengeance. Vengeance qui se serait répétée sans trêve à chaque fois que j'aurais croisé sa route. C'était logique non ? Le mec qu'on déteste, soit on lui montre sa façon de penser à coup de poings, soit on fait semblant de l'ignorer du mieux qu'on peut. Avec Kaspar c'était encore autre chose. On se volait, on se crachait dessus, on baisait dans des ruelles crades, on se foutait sur la gueule, on se payait parfois des verres, on refaisait le nez de l'autre. J'sais pas, il y avait un truc qui clochait entre nous, mais tant que ça continuait à m'amuser, je continuais à le fréquenter. S'il pouvait juste éviter mon visage, ça serait bien. C'est quand même mon gagne pain principal. Je m'approche de lui, pas souple, petit sourire en coin. Comme tout à l'heure, je place une main sur son torse, continuant sur un ton plus lent. « Allez, t'en as envie autant que moi ... » Ma main glisse le long de son tee shirt, continue un peu plus bas, ma main commençant à le caresser par dessus son jean. Parfois, Kaspar me fait penser à un animal, sauf que sa période de rûte se porte sur une années entière. Profite bien de ces quelques secondes ducon. Ma main descend un peu plus bas, et j'attrape ses attributs fermement, serrant un peu pour le voir se plier. « Si j'serre un peu plus, tu seras pile poile à la hauteur pour me tailler un pipe. »
Dernière édition par Jono E. Owsley le Mar 19 Juil - 9:37, édité 13 fois
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:40
DEVIL IN THE DETAILS
I. septembre 2009
Assis en tailleur sur le lit, je joue avec une mèche des cheveux de Sarah. Ses boucles blonde, épars. Son visage est serein, le sommeil l'a emporté depuis quelques heures, et je suis resté là, sans bouger, juste à la regarder sombrer dans les bras de Morphée, esquissant quelques sourires en voyant ses yeux s'agiter sous ses paupières, faute d'un mauvais rêve qui se calme vite. Elle ressemble à un ange, si tranquille, l'innocence même. J'ai toujours eu l'air d'un jeune con en l'écoutant rire, un imbécile qui tombe amoureux pour la première fois, qui tombe sous le charme d'un sourire, d'une naïveté d'ingénue. Rencontre cruellement banale, dans un petit café de Camdem. Serveuse fraichement embauchée, diplôme de lycéenne magistralement foiré, elle avait tapé à toutes les portes, criant à qui voulait l'entendre qu'elle était plus manuelle qu'intellectuelle. Véridique, pas tellement. Café brûlant apporté sur un plateau chancelant, il avait finit sur mes feuilles de cours, mes dizaine et dizaine de pages de calculs, de termes, de définitions ô combien utiles, révolutionnaires, indispensables et infiniment chiantes. Aucune protestation devant ses mains tremblantes, sa voix paniquée devant un renvoie assuré. Mais un rire. Incident banal, elle c'est retrouvée à la porte, pleurant toutes les larmes de son fichu corps, une montagne pour un rien, rapidement séchées, rapidement remplacées par sa gaieté naturelle, l'espoir de trouver mieux demain, en prenant la main de cet inconnu, sur qui elle avait renversé le café. Et elle a réussi à me faire partager sa peine l'espace d'un moment, m'inonder de joie quelques instants plus tard. Rayonnante, elle a toujours su cacher la tristesse ; elle aurait pu adoucir le cœur du plus buté des hommes. Elle a changé le mien, l'accueillant plutôt que de le retenir prisonnier. Un amour limpide, qui m'a fait basculer. Je n'avais jamais connu ça. Avant, l'amour n'était que familiale ; deux parents accès sur la réussite flamboyante de leur fils unique. Intelligence supérieure, quotient intellectuel tellement plus vaste que la banale masse. Il lit et retient, il entend et l'intègre. Mémoire absolue, eidétique, et des souvenirs qui ne s'effaceront jamais. Homme mécanique. Le boulot l'a quitté, j'ai quitté mon université pour elle. Pas besoin de la mettre au courant, pas besoin de lui parler de moi, elle n'a jamais posé de question, ou du moins, jamais les bonnes. On c'est trouvé un petit travail tous les deux, chez un antiquaire. Chambre de bonne sous les toits, elle en a fait notre nid. Un ange dans une pièce, sa présence éclairait les murs, son absence réduisait l'endroit à sa condition primaire, le papier peint rapiécé, le matelas décharné et sa froideur. Elle donne sa vie à l'endroit. Ou peut être qu'elle me donnait la vie. Main posée sur le matelas, je m'appuie pour me redresser doucement, traversant la pièce sans bruit, me stoppant devant un des placards. Coup d'œil en sa direction, Sarah n'a pas bougé. Je plonge la main dans ma poche de jean, sortant un pochon remplit de pilules, en glissant trois ou quatre entre mes lèvres, complétant avec une gorgée de whisky pour m'aider à avaler. Poison. Je replace les antalgiques au fond de ma poche, repose la bouteille dans un coin, glissant de nouveau jusqu'au lit, m'allongeant aux côtés de Sarah, tête posée sur le coussin, une main qui rejoint sa joue, la dégage des mèches qui cachent son visage. Je l'ai su, dès les premiers instants où mes yeux se sont posés sur elle. Banal coup de foudre, je me suis incliné devant sa douceur, suis tombé dans le piège de sa légère timidité, de ses joues qui se fardent de rose quand une situation la gêne, quand elle se torture, incapable de prendre une décision. Elle est comme une poupée, une enfant esseulée que les parents n'ont pas su élever, qu'ils ont gardé prisonnière du cocon qu'est l'enfance. Sarah est belle, mais Sarah est d'une bêtise absolue. Sarah est tendre mais Sarah n'arrive pas à prendre de bonnes décisions, d'arriver à un raisonnement logique, concret et dans son intérêt. Elle a le cœur sur le main, le genre de personne dont on profite allégrement. Elle se donne sans attendre de retour, dans sa stupidité déconcertante. Et c'est ce que j'ai aimé chez elle. Pas de calculs, pas d'orgueil ni d'hypocrisie. Limpide. Ses questions futiles m'apaisaient mais j'ai fini par les mépriser. Par la haïr, sombrer dans des colères intérieures contre sa personne, la traitant d'attardée. Aussi niaise que la majorité de la population, une aberration, toute la connerie humaine, gavée par les médias, par la publicité, les revues à scandale. Incapable de réfléchir assez loin, parasitée par des soucis minimes. L'attention qui s'échappe en quelques secondes pour rebondir sur les courses à faire. La vie avec Sarah n'aurait pas été soutenable. Je regardais ça d'un œil hautain, crachant sur ces facultés, ce don qui me séparait d'elle. Trop encré dans le réel pour pouvoir rêver ; trop conscient pour le quotidien de Sarah. Qu'importe, il avait fallu trouver le moyen de partager sa vision des choses, devenir comme elle. Autodestruction lente, creuser à la source et annihiler le mental. Drogué. Mélange d'analgésiques et d'alcool ayant pour effet de diminuer les capacités mentales sans pour autant les détruire. Le fameux bouton stop. Geste sûrement trop brusque, ou soupir trop prononcé, les paupières de Sarah s'ouvrent finalement, me fixant de ses deux perles bleutées. Son sourire illumine son visage, et ses doigts se mêlent aux miens. J'ai touché le fond pour être heureux, la rattraper et la laisser m'emporter. Secrètement, mon rêve égoïste. Front contre le sien, son corps se rapproche, sa chaleur contre mon torse et je ferme finalement les yeux.
II. septembre 2010
Une impression de caresse sur ma joue me fait ouvrir les yeux. Paupières lourdes, yeux brûlants, gorge asséchée. Elle est étendue à côté de moi. Peau plus blanche que jamais dans sa robe immaculée. Ses cheveux sont plus souples, les boucles brillent, m'aveugleraient quelques secondes. Ma bouche se tord en un sourire, je lâche un petit rire vite étouffé par une toux. Je manque d'air, mon corps est tellement engourdi, comme si j'avais passé des semaines sur ce matelas, sans en bouger. Draps autour de mon corps à demi nu, mon linceul. Comme si j'avais rendu l'âme l'espace de quelques heures, et que Sarah me redonnait la vie. Le paradis dans une chambre grise. Je murmure son prénom, les sons ne sortent pas. L'angoisse monte doucement, irrépressible. Comme si les secondes nous étaient comptées. Impossible de me contrôler, une secousse me plie, mon souffle se bloque et une vague de larmes roule le long de mes joues. Sarah ne dit rien, se relève doucement. Debout, elle me surplombe et je n'arrive toujours pas à parler, laissant seulement échapper une plainte en fixant son visage. Plutôt que de tendre la main vers elle, lui demander de revenir s'allonger à côté de moi, je presse le draps, le fait glisser le long de mon corps pour me couvrir jusqu'au cou. Torse qui s'élève, s'abaisse de façon désordonnée, j'essaye de contrôler les pleurs. Reste avec moi finalement soufflé entre quelques hoquets de larmes. Les mots ne viennent pas, ne passent pas le cap de mes lèvres, comme coincés au fond de ma gorge, incapable de lui dire tout ce que je voulais lui hurler. J'ai besoin d'elle, elle est en train de s'en aller, fait quelques pas vers l'arrière, le même sourire serein gravé sur son visage. Quelques secondes, Sarah. Elle n'écoute pas, disparaît aussi soudainement que son apparition fantomatique. Tourné sur le côté, regard fixé sur le matelas, la place vide de sa présence sur j'effleure de la main. De nouveau les larmes coulent, silencieuses. Elle revient par intermittence. Quelques secondes les nouvelles drogues, les rêves, me la font revenir, lui font quitter son paradis pour retomber à mes côtés. Je suis aussi pourri que le cancer qui l'a rongé. Des mois de lente agonie, à voir son corps s'affaiblir, ses rondeurs disparaître pour ne laisser que des côtes saillantes, des cernes violacées sous ses perles bleutées. Trop lâche pour faire machine arrière, pour quitter la douceur d'une intelligence affaiblie. Des mois à la regarder s'éteindre, incapable de changer quelque chose à sa déchéance. L'ange se meurt, un dernier soupir et un pauvre idiot, tenant sa main à son chevet, pleurant sur un bonheur qui s'achève. Pleurant sur sa solitude, de nouveau retrouvée. La peur d'un lendemain sans elle. J'ai pu la voir sourire une dernière fois, occultant le courage, continuant à espérer de la voir s'en relever et fatalement s'éteindre.
Dernière édition par Jono E. Owsley le Mar 19 Juil - 9:36, édité 28 fois
Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:51
bienvenue je file te réserver yuri (yuri, moi ça me fait penser à la cité de la peur. toute seule, je sais.) courage pour ta fiche ! (:
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:54
biiiiiiiiiiiiiienvenue ! je te réserve Yuri Pleskun (si je ne me trompe pas (a)) tout de suite ! merci beaucoup pour ton inscription. et puis j'adore le prénom Jono, ça colle bien à l'avatar je trouve. reste à voir qui se cache derrière édit : sally jolie, je te hais, tu postes plus vite que ton ombre
Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:57
Blaise C. Anderson a écrit:
biiiiiiiiiiiiiienvenue ! je te réserve Yuri Pleskun (si je ne me trompe pas (a)) tout de suite ! merci beaucoup pour ton inscription. et puis j'adore le prénom Jono, ça colle bien à l'avatar je trouve. reste à voir qui se cache derrière édit : sally jolie, je te hais, tu postes plus vite que ton ombre
tu me hais ? ça me brises le coeur camille. héhé. (a)
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 11:59
je hais toujours avec amour ma sally jolie, sache le par contre, jono, si tu pouvais écrire dans la case description la date d'aujourd'hui, ça nous faciliterait la tâche à nous les admins pour garder un oeil sur toi et ta fiche
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 12:16
Merci à tous les deux Yep, désolé, je viens de le faire. Je suis d'une lenteur infinie.
Blaise C. Anderson Peace&Love ♦ prosterneur officiel de la Terre Sacrée
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 12:18
nan y'a pas de souci, je suis également d'une lenteur infinie, même bien pire, je crois j'espère que ça se soigne en tout cas XD
October Rosenbach ANTIQU'ADMIN ;ou déesse de la sagesse
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Sam 16 Juil - 21:14
Bienvenue!!!!
Bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Mar 19 Juil - 9:18
J'espère aussi que ça se soigne Blaise Merci October
Je pense avoir terminé ma fiche
Blaise C. Anderson Peace&Love ♦ prosterneur officiel de la Terre Sacrée
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Mar 19 Juil - 10:29
le début m'a rappelé un épisode de dr house où le patient buvait de l'alcool et prenait des médicaments pour endormir sa matière grise. pure coïncidence ? en tout cas, je trouve ça très intéressant d'utiliser le principe pour un personnage et le cancer qui vient tout briser et que l'on apprend que vers la fin, alors que dès le début du deuxième chapitre ce n'est qu'une illusion, c'est tout simplement fantastique. bref, je te valide
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED) Jeu 21 Juil - 13:05
Han merci ça fait me plaisir Yep, Docteur House ma bible à idées niveau troubles médicaux, après je re modifie à ma sauce ...
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Sujet: Re: JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED)
JONO ϟ Keep me calm, cause I'm scared of their controlling crowds. (ENDED)
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