The end of nights we tried to die. This is the end.
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Sujet: The end of nights we tried to die. This is the end. Sam 16 Juil - 11:25
ASHLEY SMITH PAR RIDDLE
BASIC ELEMENTS ARE
Kukka Noor Makela
❖ AGE: VINGT-ET-UN ANS ❖ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: DIX AVRIL, HELSINKI (FINLANDE) ❖ NATIONALITÉ: FINNOISE ❖ PROFESSION: CHÔMEUSE ❖ ÉTAT CIVIL: CÉLIBATAIRE ❖ QUARTIER: COVENT GARDEN
REAL ELEMENTS ARE
❖ AVATAR: Ashley Smith ❖ PSEUDONYME: Soft Parade ❖ PRÉNOM: Manon ❖ AGE: Dix-sept ans ❖ PRÉSENCE SUR LE FORUM: Très régulière ❖ OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: Bazzart ❖ COMMENTAIRES: Ce forum est juste parfait ** ❖ EXEMPLE DE RP:
Spoiler:
Minttu n’a jamais fait ses propres choix. En réalité, ce fut toujours sa mère – accessoirement, le beau-père depuis son arrivée fracassante – qui décidait pour elle. Elle n’a jamais essayé le contraire, cela lui semblait trop fou d’imaginer la possibilité qu’elle soit capable d’oser prendre une décision, qui viendrait uniquement de son libre arbitre, et non en mettant au parfum sa génitrice auparavant. Pourtant, il le fallait bien un jour. Ce qui lui apporterait un avant-goût de la maturité. Peut-être amère, hélas, c’était le risque. La pauvre enfant est déboussolée, troisième guerre mondiale au sein de sa tête, questions qui cognent, qui brisent son esprit déjà ravagé depuis tant d’années. Faut quitter cet univers enfantin dans lequel elle forge son existence, un brin puérile, un brin glauque. Et apparemment, c’est une façon d’aboutir à ce résultat. Perdre sa virginité. Le dernière signe qui peut encore justifier le faîte qu’elle soit une gamine, comme exilée au gré d’une innocence invraisemblable à son âge. Le problème est qu’elle aime son Monde lugubre, sinistre. Elle affectionne l’idée de s’auto-mutiler l’âme et le cœur d’une telle manière, car c’est la sienne, ses illusions désenchantées en sont la cause. Et non une réalité brutale devant laquelle elle devrait faire face. Une chose est certaine : la réalité rattrape automatiquement les égarés sur la route. Minttu n'y échappera pas, ce serait se voiler la face d'avaler pareille connerie. Peut-être qu'il ne fallait mieux pas alors, patienter. Attendre qu'elle se fasse faucher un peu plus tard, profiter encore quelques instants de la douceur que lui offre sa pureté si étonnante en soi. Demeurer une môme déchue jusqu'à qu'elle se voit dans l'obligation de grandir, une bonne fois pour toutes. Attendre que la vie l'égorge, pour ne faire d'elle qu'une banale cinglée, chez les cinglées responsables. Étrange créature qu'est l'humain sain d'esprit. Son psychiatre, sa mère, confirment régulièrement qu'elle n'est pas confinée dans les rangs, trop désaxée, et qu'elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même. Car, exister marginalement n'est pas si agréable qu'il n'y parait. C'est l'inconscient de Minttu qui décide, qui tente de la protéger d'une menace colossale : la coexistence avec son prochain, la vie dans son ensemble, avec ses bons et mauvais côtés. Alors, son état proche de celui d'une dépressive prête à récidiver la tentative de suicide est plus ou moins compréhensible. C'est trop dur d'évoluer. Il vaut mieux couper court avant.
Ça parait rien pour beaucoup. C'est qu'une épreuve, un cape à passer, lui répète sans cesse sa mère. Sauf que pour Minttu, c'est une ouverture à la sagesse physique du moins – et qui sait, mentale avec l'avenir –, une marche démesurée à franchir, sauter le pas. Et les circonstances semblaient être en faveur pour son premier choix. Mais les doutes sont omniprésents. Car c'est Pride qui est là, et non un charmant jeune-homme qu'elle n'aurait fatalement jamais rencontré après mûres réflexions. Pride : dernière option. Ce petit con qui lui avait pourri incontestablement la vie, sauf que tout cela lui paraît dérisoire à l'heure actuelle, superflu, comme si ces heures horribles, elle peut les balayer d'un simple souffle, faire dégringoler le château de cartes. Minttu tombe dans la gueule du loup, le talent de manipulation de ce cher Pride n'est plus à vanter, il frôle le jeu d'un acteur remarquable. C'est la routine pour ce dernier. Minttu est déjà presque acquise, plus qu'une question de temps, cruelle évidence, une fatalité répugnante. Quand bien même elle laisse cependant s'exprimer une terrible incertitude. Il est vrai, elle peut toujours se braquer, et le faire sauter par sa fenêtre l'instant d'après.
Plus de vingt-ans d’abstinence, c'est donc une sensation insolite qui la traverse lorsqu'il fait glisser sa main sur le creux de ses hanches, ce qui lui fait fermer les paupières également. A vrai dire, ce fut plutôt un geste innocent d'aller se blottir contre Pride, une recherche de chaleur. Geste qui n'engendrerait certainement pas des répercutions candides. La plupart des jeunes-filles s'y attendraient, mais pas Minttu. Bien entendu surprise, elle cambre ainsi le dos au contact. Et les choses ne s’amenuisent guère, Pride surenchérit en lui embrassant le cou, elle commence à légèrement bouger, un trait nerveuse. Passant sa main sur celle du brun, histoire de l'ôter de son ventre. Elle se retourne, agrandissant par la même occasion l'espace entre eux, les yeux bas. C'est l'heure, il faut choisir, et toute seule. Qu'est-ce qu'elle a y perdre et a y gagner ? Telle est la question. C'est en plein dans l'inconnu qu'elle se risque à s'évader. Remontant le regard vers Pride, elle s'approche finalement. Trop tard. Elle le regrettera, c'est sûr. Toutefois, elle aurait peut-être encore eu plus de remords par la suite, à rebrousser chemin maintenant. Et c'est d'une main maladroite qu'elle en vient à faire effleurer ses doigts hésitants contre la joue de Pride, qui parcourent ensuite le bras tatoué de ce dernier. Dès lors, elle est assurément tombée au fin fond de la gueule du loup.
Dernière édition par Kukka N. Makela le Dim 17 Juil - 8:58, édité 4 fois
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Sam 16 Juil - 11:25
DEVIL IN THE DETAILS
– 2009, 4 h 21 I hurt myself today, to see if I still feel, I focus on the pain. The only thing that's real, the needle tears a hole, the old familiar sting, try to kill it all away. But I remember everything. Hurt, Johnny Cash.
Point de non-retour. Contrôle imbuvable : un débris blond flânant au gré d’une ruelle, se balançant tel un pendu, se heurtant contre les murs comme se cognent les vierges à l’orgasme, dégringolant les escaliers, désespérément, élégamment. Collision. La logique n’est plus. Le temps n’est plus. La vie n’est plus. Seule la douleur persiste, elle fut jusqu’alors tapie dans les pénombres, prédateur en chasse, attendant le moment idéal pour octroyer sa saccade cruciale, son coup de grâce. Ce monstre s'assouvit. Elle subit. Un univers fracassé à coup d’une flèche brutalement employée. Métaphore singulièrement douce, pour un acte qui ne l’est pas. Ses yeux qui auraient dû être à l’affût des étoiles se retrouvent clos, à nouveau propices aux larmes. Tremblante, gémissante, souffrante. Qu’importe. Il s’en fout pas mal, s’en balance des blessures qu’il peut infliger, il s’en moque puisque il est le dominant. Exerçant une pression sur la cuisse de l’ingénue, l’agrippant, l’écartant, la gênant. Il s’insinue en elle tel un bourreau, usant son égo du rez-de-chaussée avec une violence indescriptible tant elle est insoutenable. Elle ferme ses paupières, l’effroi transparaît sur son visage délicat, tandis qu’elle pleure bruyamment, criant par instant. L’autre main maintient les bras tendus vers l’arrière – formant un triangle imprécis et répugnant – de celle qui s’avère n’être qu’une vulgaire victime. Mouvements incessants, donnant cette horrible impression qu’il ne s’arrêtera plus jamais, mal qui lui tressaillira les reins infiniment. Cette créature cruellement humaine soupire, souffles dégueulasses qui se cognent contre l'air urbain. Esprit tentant une escapade au loin, hélas, en vain. L’esprit est en cage ainsi que sa pseudo-liberté. Elle hurle, il l’oblige à se taire ; elle bouge, il l’empêche. Impuissante, elle n'a plus propriété de son propre corps. Nombreuses côtes brisées, pommettes ébréchées, bouche ensanglantée dû à la longue chute provoquée par son tourmenteur ; le viol en est d'autant plus atroce. Les minutes semblent ne guère s'écouler, comme si la planète s'est mise en pause. Kukka ne se débat même plus, à quoi bon ? La partie est déjà perdue. Offrant une infâme possibilité à son âme : s'annihiler en silence, se dévorer elle-même, sombrer dans la gueule du loup, périr au sein des abysses insondables. En totale incapacité ne serait-ce que de penser, elle s'étouffe, décline, disparaît, succombe, elle s'éteint. La peur surplombe sa maigre carcasse, l'angoisse transperce ce cœur qui fut auparavant trop arraché, trop rafistolé au fil de fer, pauvre chose à présent : en période d'autodestruction. Puis c'est la fin, au sens propre et figuré. Il dégage. Laissant derrière lui une jeune-femme anéantie, n'étant plus qu’un néant, une enveloppe charnelle vide. Il n’y a plus âme qui vive.
– 2010, 14 h 16 Les cœurs déchiquetés qui parlent aux fantômes. A toi, Léo Ferré.
« Que dirait ta mère Kukka ? » « Elle n'a rien à dire. Elle est morte. » Une main paternelle dans ses cheveux. La caresse de trop, celle qui puisse valoir qu’elle y porte enfin un intérêt. Alors c’est dans un geste dépourvu d’une quelconque douceur, passion, ou même violence, c’est dans un mouvement égal à celui d’un fantôme qu’elle en vient à déposer un baiser sur la joue de son Papa. Et dans un long soupir, elle se laisse glisser sur le carrelage froid, cognant à répétition sa tête contre le mur sur lequel elle y est adossée. Comme une envie de faire exploser son crane. Suite à une collision absolument parfaite, aboutissant en un bordel insondable, la gerbe de sa personnalité sur le sol. Une envie d’en finir. Hélas, pas maintenant, ce n’est pas la manière et l’heure de crever, l’enfer n’est guère aménagé d’une façon suffisante pour contenir pareille créature besogneuse. Pareil déchet. Plus d'an de fichu silence, mutisme, depuis ce drame, l'hôpital, la police et tout ce qui en suivit. « J'en avais presque oublié le son de ta voix. » Il s’agenouille à côté d'elle, la serrant avec fermeté dans ses bras, et versant quelques larmes sur son épaule. Kukka ne bouge pas, immobile, inapte à ressentir une émotion, aussi infime soit-elle. « J'ai baisé la Faucheuse. » Elle s'extirpe de son emprise, se relevant difficilement, le Monde tourne à s'en briser, sa main s'appuie contre le mur, essayant de tenir sur ses deux jambes flageolantes. Vaseuse. Raide. Stone. Fatiguée. Lasse. Absente. Perdue. Kukka erre dans le domicile familial à présent, cherchant désespérément son âme çà et là des recoins des diverses pièces qu’elle parcourt d’un pied chancelant. S’employant à demeurer l’éternelle pauvre fille qu’elle semble être. Heurtant son esprit à maintes réflexions mystiques, morbides, suicidaires. Son père accourt vers elle, lui saisissant le bras afin de lui éviter une chute pratiquement inévitable. « Putain, tu n'as pas arrêté Kukka. » Hurle-t-il, les poignets de sa gosse en main, soupirant ensuite devant tant d’autodestruction. Exaspéré, attristé, d’observer sa fille indomptable s’exiler au gré de sa peine constante, malheur qu'elle seule est apte à comprendre. Kukka tremble, murmurant des phrases sans sens, presque inaudibles, elle n’est plus dans notre réalité, perchée sur son univers, la question est : en redescendra-t-elle ? « J'avalerai du rêve jusqu'à l'indigestion. Je pisse sur la réalité. » « Elle te rattrapera, et tu t'en mordras les doigts. » Elle crache sur son père, criant, suppliant qu'il la lâche. « Il n'y a rien à mordre. » Fatalement : il la bouscule contre le buffet, levant ses yeux accusateurs vers elle. « Putain de tox', cette cure fut inutile. Ton viol n'excusera pas ton comportement éternellement. » La phrase de trop. Kukka balance un hurlement, tirant sur ses mèches blondes, visage crispé sous la terreur. Il s'approche, elle recule brusquement, trébuchant contre le canapé. « Je ne te laisserai pas te détruire de la sorte ! » Épouvantée face à la subite colère de son père, Kukka se dirige sans un mot vers sa chambre, commençant à vider son armoire, ses tiroirs avec dégoût, installant toutes ses fringues dans une valise, en bordel complet. Il re débarque, forcément. « Tu fais quoi là ? » Elle ne répond pas, continuant, mécanique. « Kukka tu fais quoi ? » Voix désespérée, il insiste, en vain. Buvards, mescaline, coke, héroïne, sédatifs... Elle arrache tout de leur pseudo-cachette, plaçant ces derniers dans la poche avant de sa valise devant la mine effarée de son géniteur. « Si tu emportes ça, tu n'es plus ma fille. » Énième mauvaise réaction. « Je n'ai jamais été ta fille. Même si la biologie affirme le contraire. » « Ne fais pas ça. » Doigts qui glissent sur la photo de sa mère installée sur la table de chevet, un sourire en coin illumine un instant le visage de Kukka, puis elle agrippe le cadre et le jette en direction de son père. « Tu es malsain. Le prétexte de la folie est si simple à utiliser, lorsqu'il s'agit de conserver sa fille qui n'est d'autre que la foutue pâle copie physique de sa mère. Elle est morte et enterrée. Tu ne l'admettras hélas jamais, beaucoup trop con et égoïste pour la laisser reposer en paix. Je n'ai jamais connu concrètement cette femme, j'en ai donc rien à foutre, et marre d'en subir les répercutions. Crève dans ta dépression. Je crèverai dans la mienne. Loin d'ici. » Amen. Elle emporte ses affaires, fuyante, et sa carcasse s’extirpe de la baraque. La maison des enfers. Le Purgatoire du quartier. La bible des maudis.
– 2011, 20 h 01 Quand par hasard dans mon lit je te rencontre, on ne peut pas dire que tu sois pour, ni que tu sois contre. Indifférente, Gainsbarre.
Le soleil frappe à la fenêtre, pénétrant la pièce avec ses doux rayons, installant un climat élégant et chaleureux comme il en a le secret. C’est le matin, première fois que Kukka s’éveille de si bonne heure depuis quelques mois. Chaque réveil est comparable à une cruelle renaissance, tandis que le sommeil lui apporte plutôt cette étrange impression d’être enfin absente, égarée de ce fichu Monde, morte. Bien qu'elle cauchemarde, qu'importe, le jeu en vaut la chandelle. Kukka se redresse légèrement, observant les alentours d'un œil perplexe, les sourcils en l'air et la lèvre supérieure à moitié retroussée. Ce n'est pas sa chambre. Et aucun souvenir particulier vient justifier qu'elle ne soit justement guère dans sa chambre. Ses yeux glissent vers la table de chevet, elle extirpe une clope du paquet errant sur cette dernière. Cigarette en coin des lèvres, d'un geste habile elle dégage la couette, la balançant sur le sol sans vergogne. Personne, c'est bizarre et peu rassurant en soi. Kukka : panique à bord. Elle tapote machinalement sur sa cuisse, et sa respiration s’accélère, l'angoisse injustifiée s'exprime à nouveau. Elle lâche un appel au secours : « Jono ? ». Espérance quasi-vaine. L’inquiétude s'accentue, et les larmes coulent, sans raison, comme d'habitude. Hurlant cette fois-ci le prénom de son colocataire. Il se montre enfin. Kukka passe le revers de sa main sur ses pommettes, ce qui n'efface guère sa mine laminée, juste le superflu. « Pourquoi je suis ici ? ». Question brisée par un souffle bruyant. Récupérant la couverture sur le sol pour se couvrir et entourant sa silhouette avec, elle se lève, collant son front contre l'épaule de Jono. Une gamine. Et elle demeure dans ce pseudo-rêve, beaucoup trop aimée pour faire face à la réalité. Mais ce n'est qu'une fichue illusion, ce n'est pas elle. Kukka nourrit cette chimère à l'allure d'un mensonge abjecte, aveuglément. Mimant l'ombre d'un être disparu, profitant malgré elle de cette faiblesse. N'étant même pas consciente du mal qu'elle inflige à la seule personne à qui elle souhaite un bonheur véritable. Et telle une jeune-femme foutue en l'air, Kukka envoie balader les autres avec elle. Complètement aliénée, désaxée, errant au gré d'un Monde parallèle, univers aussi fantasque que glauque, c'est un électron libre en proie l'automutilation quotidienne. Intoxicated girl.
Dernière édition par Kukka N. Makela le Mer 20 Juil - 13:19, édité 48 fois
October Rosenbach ANTIQU'ADMIN ;ou déesse de la sagesse
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Sam 16 Juil - 11:28
Le premier bienvenue de la saison 2 de STH!!!!!
La chanson!!!
Bon courage pour ta fiche, je file te réserver Ashley.
Sally Hotchkiss
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Sam 16 Juil - 11:33
ashley smith, je brûle, je me consume. sache que cet avatar va te valoir bon nombre de harcèlement de ma part. bienvenue !
Blaise C. Anderson Peace&Love ♦ prosterneur officiel de la Terre Sacrée
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Sam 16 Juil - 11:43
oh bienvenue à toi avec cette sublime personne et ce sublime pseudo très intriguant. et j'adore la musique (mais mon dieu, je veux plus (a) non, je ne suis jamais satisfaite.)
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Dim 17 Juil - 6:31
Merci beaucoup. Aaah, les Doors. Toutes leurs musiques sont des orgasmes pour les oreilles. Sally, je t'en prie : harcèle-moi, j'adore ça.
Alcide Cartwright
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Mar 19 Juil - 0:51
je suis arrivée après toi, mais je tenais absolument à te dire qu'ashley est un choix divin c'est ma préférence depuis quelques temps
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Mar 19 Juil - 6:05
Merci. Et je te retourne sans hésitation le compliment : Victor est un choix génial, tellement bandant.
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Mer 20 Juil - 13:24
Ce n'est pas top, j'en suis conscience, m'enfin : fiche terminée.
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Mer 20 Juil - 21:27
bienvenue, ashley smith est un très bon choix!
October Rosenbach ANTIQU'ADMIN ;ou déesse de la sagesse
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end. Mer 20 Juil - 22:09
Bon Dieu, ce que j'aime ta façon d'écrire! C'est avec grand plaisir que je te valide.
Bon jeu parmi nous!
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Sujet: Re: The end of nights we tried to die. This is the end.
The end of nights we tried to die. This is the end.
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