STAIRWAY TO HEAVEN
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vilaines filles mauvais garçons.

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Marlowe Koestler
Marlowe Koestler


nombre de messages : 53
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IN MY DREAM
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vilaines filles mauvais garçons.  Vide
MessageSujet: vilaines filles mauvais garçons. vilaines filles mauvais garçons.  EmptyJeu 28 Juil - 6:56

vilaines filles mauvais garçons.  Sansre1eg

CATHERINE MCNEIL PAR CRISPIN.


andreani arsene
¥ STATUT DU SCENARIO: PRIS
¥ AGE: 23 ANS
¥ ORIGINES: CORSES
¥ ACTIVITÉ: JOURNALISTE DE MODE ET MODÈLE (DE PEINTRES) Á SES HEURES
¥ CHOIX D'AVATAR: BRUNES; catherine mcneil, diana moldovan, karlie kloss, karmen pedaru. BLONDES; lara stone, lindsay ellingson.



IT'S A HARD LIFE
Le père d'Arsene est propriétaire de boites de nuits VIP à Paris, Londres, Saint-Tropez et Ibiza. Arsene a grandi dans la luxure et l'illimité le plus absolu. L'influence de la culture corse a dirigé son enfance et son adolescence. Elle est entrée à l'université du Lancashire central pour apprendre le journalisme. Elle s'est installée en France à l'âge de vingt-et-un ans, à Paris, soit depuis deux ans. Elle est connue dans le milieu de la mode, pas du tout dans celui du mannequinat, étant donné qu'elle ne pose que pour des peintres dans un cadre relativement intime. Elle possède une maison d'été en Corse, dans le village de sa famille. Elle a un appartement à Paris, dans le Marais, et un à Londres, dans Camden Town. Tout le reste est à vous, après tout, c'est votre personnage ♥


DON'T LIE
INTRIGANTE, HYPERSENSIBLE, SOLITAIRE, AUTONOME, ARTISTE, DÉLURÉE, SAISISSANTE, INCONSTANTE, INCONSCIENTE, HYPERSENSIBLE, ATTENDRISSANTE, FASCINANTE, INACCESSIBLE, HAUTAINE, CYNIQUE, JOUEUSE, OUVERTE D'ESPRIT, LIBRE, INTRÉPIDE, HUMORISTIQUE, POSSESSIVE, JALOUSE, FÉLINE, EXIGEANTE, AUTO DESTRUCTRICE, ADMIRABLE, INTELLIGENTE, DÉSIRABLE, SINCÈRE, TALENTUEUSE, PEU AVENANTE, TRAGIQUE, VOLUPTUEUSE, BOULEVERSANTE, INSUPPORTABLE, VIVE, COLÉRIQUE, SCEPTIQUE, BORDÉLIQUE.


I WAS MADE FOR YOU
J'ai des trucs et des machins, pour toi, des trucs et des machins, pour toi. J'ai des caresses et de l'amour, en masse, j'ai des bonbons de toutes les couleurs. Je suis à toi, je suis pour toi, j'ai tout ce qu'il te faut, tout pour te faire rêver. Homme, femme, animal ou damné. Je me présente, le clown au masque de l'humanité, l'ange au visage de vérité. Si tu ne sais pas ce que tu veux, nous allons le trouver. Si tu ignores où se cache ton désir, nous allons le traquer. Si tu as perdu tes rêves, nous allons les déterrer. Je suis le pantin flamboyant aux ficelles de poudre d'étoiles, le tisseur d'âmes sans toile. Je suis le seul qui donne quand on se pend à son bras, je suis celui dont tu suis sans le vouloir le pas. Entre les rayons verts de la musique, nos regards se croisent. Tu m'aimes déjà. Sans savoir pourquoi. J'ai des trucs et des machins, pour toi, des trucs et des machins, pour toi.

Un brouillard sale et jaune inondait tout l’espace, « je suivais, roidissant mes nerfs comme un héros et discutant avec mon âme déjà lasse, le faubourg secoué par les lourds tombereaux. » Quelques notes de piano, là bas vers le fond. Comme une étoile qui brille, au-dessus de ce tripot, que d’un œil splendide, je transforme en crèche de paille. Il y a des soirs comme ça, sous les lampadaires brumeux, je ne me prends pour rien. Fantôme de chair les cheveux au vent glacé, lèvres gercées, ratatinées par l’hiver, j’écrase la neige du pont comme un enfant mort. Les passants s’étouffent dans leurs fourrures, la pâleur de leur teint abîmé pourrait les faire passer pour morts, si ce n’était cette fumée blanche qui sort d’entre leurs lèvres à chaque effort, grandes cheminées de chair, je n’aime que les morts. Je suis entré dans le bar. Tu ne te souviens pas de ce soir-là. Un soir d'hiver parmi d'autres. Un soir où Bristol dormait depuis longtemps Quelques lumières électriques brillaient froidement au travers des volets mi-clos. Nous étions seuls au monde, toi, moi, et le piano, là-bas dans le fond, qui jouait de sa lumière mordorée sur tes cheveux. Je n’étais qu’à moitié là, j’avais trop bu, Arsene, j’étais soûl.
Je vois avec étonnement le feu de tes prunelles pâles, clairs fanaux, vivantes opales, qui me contemplent fixement. Alors je me suis dit que je ne risquais rien. Qu'il fallait que j'agisse si je ne voulais pas être hanté par ton image pendant des jours. Ma langue de feu crépitait contre ma gorge, j’aurais séché d’un regard les goûtes d’eau qui glissaient contre ton cou, s’engouffraient dans le creux de ta poitrine palpitante. Il y a quelque chose dans tes yeux, comme un feu dévorant ; toi aussi, tu n’es qu’à moitié là. J’avais trop bu, Drea. Je rêvais. Je te voyais au milieu d’un brouillard de cristal, tes yeux transparents montraient le paysage noir derrière toi, je me suis rapproché. J’entendais le son de ta voix, au plus profond de toi, je rêvais. Je voulais te murmurer de l’eau, te faufiler des poèmes au creux, habiter tes yeux. Á la place, j’avais trop bu, j’ai cherché à savoir. Une question sans importance, quelque chose qui, au fond, ne m’intéressait pas. Je ne pouvais pas te regarder vivre et mourir comme une petite flamme, et te parler, mon souffle inutile éteignant si fort les mégots dans tes yeux, si fort pour toi.

- De Londres.

Ta réponse, si peu originale, je l'entends encore. Ange, j’attendais des étoiles, ton haleine des cieux, je voulais apercevoir les ailes cramées dans ton dos, quelque chose comme un os d’opale poli par le temps. Si tristement vivante, si tristement banale. J’aurais du boire et partir, continuer ma tournée, terminer à danser dans les caniveaux sales avec les prostituées, les poudres d’étoiles artificielles, et je suis resté.. Tu étais là, lointaine. Je ne te croyais pas. Tu ne venais pas d'Oxford, pas une étudiante soûle, béate, stupide, frappée par mon visage – un bel enfant qui n’avait rien d’un bourreau de la nuit, plutôt un enfant dans un manteau troué. Tu étais. Sans l’être. Je voulais t’écrire, te peindre, tout en une nuit, l’éternité d’un instant que je voulais saisir. Je voulais saisir d'un coup tout ce que tu étais, d’un doigt pressé sur un appareil, saisir ton essence dans ma petite boite noire, te regarder pour toujours, te garder sous ma chemise, contre mon cœur.. Je t'ai dévisagée, ne m'en veux pas. J'étais soul, Drea, j'avais trop bu. Il me fallut de longues minutes pour distinguer la veine qui battait à ta tempe. Palpitante. Ensanglantée. Ce soir, tu étais ma Lucrèce violée. Il a fallu que mon regard glisse vers ton verre, pour apercevoir la main qui la tenait. Squelettique, et molle. Tu ne tenais pas ton verre. Tu ne tenais rien, poupée de chair gorgée de sang, tu étais posée sur ce tabouret comme un joué oublié d'un enfant. Ça tournait, pour moi aussi, Arsene, surtout pour moi, je ne voyais plus que des fleurs, des fleurs du mal autour de moi, et toi, jouet de mon rêve, petite chose abandonnée, que je ne pouvais saisir, pas maintenant, pas te briser. Je me suis levé, je titubais, était-ce réellement l’alcool ? Je suis un acteur qui ne sait pas jouer sans les autres, Drea. Je voulais creuser cependant, gratter de l’ongle ta carapace si fine, si fine, apercevoir l’opale de tes os sous tes cheveux trop fins, ce que tu caches comme une huître dans l’écume. Arsene, tu vas tomber. Tu es certaine que ça va, Drea, j’ai trop bu, j’ai du Chopin dans la tête. Je n’ai pas l’habitude de dire de jolies phrases aux inconnues, je ne sais pas parler comme dans les films.
Tu ne m’as pas répondu, tu as ouvert la bouche, et tes yeux trop petits cherchaient à faire tomber la foudre que tu n’avais plus, ange déchu. Tu oscillais, avant, arrière, comme sur un manège aux couleurs d’absinthe. Et moi, je te regardais tourner, un sourire au fond de mon cœur, je ne voulais pas te consoler, je ne voulais pas t'aider, tu n’avais pas besoin d’aide, tu étais la muse dont j'avais rêvé chaque nuit, tu étais la figure vaporeuse que chaque homme désire un jour, peut-être plus jeune, sûrement moins rêveur, tu étais la fille debout sur le pont, là dans la brume, que je retrouvais en rêve. .Pâle et transparente, aux lèvres tremblantes, je te croise là, dans un pub aux notes légères, toi qui danse dans l’air vaporeux, belle danseuse, qui ne buvait pas son cocktail orange. Tu y avais trempé tes lèvres chaudes, et tu n'y touchais plus. Il était pourtant bon, le cocktail que tu prenais, douce Arsene, je le sais, j'en avais pris. Elles étaient pourtant belles, tes fleurs bleues et vertes, jolie noirceuse, je le sais, je les sens aussi. Tu sais, j'étais soul Drea. J'étais soul, j'avais trop bu. Chacune de tes paroles, chacun de tes regards s'incrustait dans ma mémoire. Ma perception des choses s'était étendue, j'avais l'impression que tout pouvait m'atteindre, la moindre de tes respirations, et chaque goûtelette blanche qui coulait sur ta peau lisse ouvrait les veines de mes bras, j’étais si vulnérable, et si bien. Mon tableau londonien, là, bien au-delà de mes yeux, mon apparition. Je ne voulais pas te plaindre, et pas te connaître. Tu étais ma boîte à musique, j’étais soûl, Drea, j’avais trop bu, j’ouvrais la boite en détachant le loquet doré, et tu dansais doucement sur ton socle de mousse pâle, j’étais comme toi, Drea, disloqué, so fucked up.

- Tu as pris des drogues ?

Ton regard froid, extrêmement froid, ton regard de reine des glaces, me fit sourire. Arsene, mon cœur était gelé, j’avais trop bu, la chaleur des enfers de tes yeux me réchauffait un instant, puis s’éteignait. Je rallumai le feu, sans te détruire, tout doucement, je portais mon pinceau contre ta toile, tout doucement. Contre qui, contre quel paradis déchaînais-tu ta violence silencieuse, belle horizon, carcasse superbe, ton regard d’éternité posé sur moi, et moi qui te peignais, en silence, sur la toile de mon esprit, tandis que les doigts du pianiste courent sur les touches blanches, tandis que les notes de musique déferlent de tes yeux soudains clairs avec la force de l’écume, toi qui m’assaille, complètement vide. Je ne voulais pas de ton attention, j’étais soûl, Drea, j’avais trop bu ! Je savais que j'avais la réponse à ma question, mais ça m'importait peu. J’en ai trop vu, Arsene, pour me protéger de ta violence, fermer les yeux face à ton vide immense, pour moi tu n’es que la muse d’un soir, la poupée dans la boite à musique, qu’on referme doucement, en même temps que les notes disparaissent entre les papiers de mousse rose. Tu n’as pas répondu, Drea, mais mes bras, à moi, mon nez, s’en souviennent, tu ne peux rien me cacher du matériel, de ton artificiel, rien me cacher de ton addiction. Tu sais que je sais. Ça t’as étonnée. Ça t’as fait chavirer, j’étais la vague de trop sur ton lit d’océan, tu as mis une main à la mer, tu m’as donné ton prénom, plutôt, tu m’as gravé ton prénom. Tu m’as dit que ton nom, c’était Arsene. Ton nom, ou ton prénom, de toute façon, désormais, ce sera comme ça, Arsene. Et puis tu es partie, comme une averse s’en va, comme on s’éveille d’un rêve qui ne peu durer toujours. Petite danseuse, tu es partie alors que la musique roulait toujours, sortie de ta boite ocre, tombée de ton socle, sortie de ton tableau. Minuscule silhouette qui s’engouffre dans le tableau de Bristol, je t’ai regardé partir sans te dire au revoir. Mon rêve qui foutait le camp. Je n'aurais pu m'en empêcher, Arsene, car c'était impossible. Je t'ai rattrapée avant ton envol, frôlant de la main tes ailes calcinées, et je t'ai demandé.

- Tu en veux d'autres ?

Ne m'en veux pas, Drea, j'étais soûl, j'avais trop bu, je ne désirais que te garder, le temps d'un soupir, d'un sourire, d'une averse, de quelques pas comme quelques notes de piano, là bas vers le fond. Je t'ai offert mon poison, celui que tu désirais ne jamais vouloir, je t'ai fait prendre ma drogue, mon trésor, tout en prenant ta taille entre mes doigts, je t'ai laissée avaler, respirer, goûter, délirer, mais j'étais soûl, Drea, tu ne fais pas partie du marché. Je ne voulais que quelques heures, pas ton bonheur, juste quelques heures, heures, et le son d'un piano, là bas vers le fond.
C'est l'heure de se taire,
De devenir la tour
Que l'avenir convoite.

Arsene et Marlowe se sont rencontrés pour la première fois dans un bar minuscule à Bristol, pendant les vacances scolaires, à l'âge de seize ans pour Drea, dix-sept et demi pour Lowe. À cette époque, Arsene découvrait la drogue, et Marlowe en vendait pour se faire un peu d'argent de poche: si Drea était bourgeoise, Lowe était extrêmement pauvre. Ivre et mélancolique, Marlowe a fait de Drea sa muse durant cette soirée, mais une fois disparue dans le noir de la nuit, elle n'est pas revenue. Lorsqu'elle entre à l'université du Lancashire central, Arsene reconnaît immédiatement Marlowe, mais pas lui. Arsene se vexe malgré elle, et un jeu de séduction s'engage entre les deux étudiants, qui se change vite en passion réciproque. Drea finit par s'installer à Londres, espérant que Marlowe la suivra, mais ce dernier, hyperactif et amoral, décide d'être journaliste dans le monde entier, et part pour le Sri Lanka. En quelques mois à peine, ses articles font mouche, et on commence déjà à parler de lui dans les milieux intellectuels. À chaque fois qu'elle entend son nom, Arsene reçoit une pique au cœur: Marlowe est le seul homme qu'elle a aimé, qu'elle aime, et qu'elle aimera. Elle connait également sa réputation sulfureuse, et se crée un masque de marbre et de froideur pour ne pas montrer son amertume. Il y a quatre mois, Marlowe et Arsene se sont croisés lors d'un défilé. Marlowe s'est tout de suite montré chaleureux et a invité Arsene au restaurant. La soirée s'est terminée dans l'appartement d'Arsene, mais déjà, au matin, Marlowe voulait repartir. Ce qu'il ressent pour Arsene est extrêmement fort, mais elle représente malgré tout pour lui routine angoissante, immobilité mortelle. Quant à elle, Arsene hésite à laisser parler son cœur et suivre l'homme de sa vie dans chacune de ses pérégrinations. Mais sacrifier sa vie à un fuyard lui fait peur, blesse son ego. Elle attend qu'il revienne à Londres pour le rendre jaloux, et l'obliger à voir la vérité en face: il l'aime, de toute son âme.


Dernière édition par Marlowe Koestler le Jeu 4 Aoû - 22:40, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: vilaines filles mauvais garçons. vilaines filles mauvais garçons.  EmptyJeu 28 Juil - 6:56

Scénario terminé et prêt à être joué vilaines filles mauvais garçons.  762692
Si vous avez tout lu jusqu'au bout, d'abord, félicitations, ensuite, merci de vous être intéressé(e) à ma Drea ♥️. Je ne me considère pas comme super douée pour les pseudos, alors si vous voulez modifier nom et prénom, allez-y, je vous demande simplement: de trouver quelque chose de joli, de respecter les origines corses de Drea. Je vous laisse le choix entre plusieurs avatars, mais sachez qu'une brune correspondrait mieux qu'une blonde à Drea, à moins de trouver une blonde qui ait vraiment une gueule (comme lara, par exemple, ou lindsay sur certains shoots). Ensuite, je sais que ma description d'Arsene est très abstraite, et il serait normal que vous ayez besoin de plus de détails, donc ma boite à mp vous est toute ouverte (:
En ce qui concerne sa relation avec Marlowe, vous serez plus à l'aise en lisant au préalable ma fiche (peu détaillée, mais c'est un début) avant de me demander de vous le décrire par mp.

Si vous prenez ce scénario, c'est que vous faites peu voir pas du tout de fautes d'orthographe. Disons que ça m'empêche de profiter d'un rp, quand je vois trop de fautes. Mais je fais également des erreurs au niveau des accords, alors ne vous inquiétez pas, je ne demande pas non plus un professionnel des dictées de Pivot x) Mais si vous confondez les terminaisons en -er et -é fréquemment, je crains que ça ne soit pas possible, même si votre écriture est sublime. C'est dommage pour moi, mais je n'arrive pas à me régaler en lisant, sinon. Si vous prenez ce scénario, c'est aussi que vous vous sentez bien avec ma façon d'écrire. Pas seulement parce que cole mohr vous plait, par pitié, mais parce que vous avez envie de rp avec moi et parce que Marlowe vous intéresse vraiment.

Bon, à présent que j'ai joué les méchantes aigries, je peux vous dire que celui ou celle qui jouera mon Arsene méritera mon amour éternel, et une photo de Marlowe nu sous la douche vilaines filles mauvais garçons.  729634

ps; pour l'histoire, je vous laisse carte blanche: délirez, laissez vous aller, je suis ouverte à toute forme d'écriture, surprenez-moi vilaines filles mauvais garçons.  837320

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MessageSujet: Re: vilaines filles mauvais garçons. vilaines filles mauvais garçons.  EmptyJeu 4 Aoû - 22:39

Scénario pris vilaines filles mauvais garçons.  729634
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MessageSujet: Re: vilaines filles mauvais garçons. vilaines filles mauvais garçons.  Empty

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